Le boomerang "bâton à lancer", arme de chasse ancestrale.

Lieu sacré, le mont Uluru, dans la magie du soleil couchant à Ayers Rock.

Terrace House de Melbourne.

Détail du mont Uluru, à Ayers Rock.

Plage près de Port Douglas.

Whitsanday Island vu d'hélicoptère.

Clin d'oeil typiquement local : attention aux kangourous.

A Melbourne, les anciens établissements de bains de St Kilda.

Au coeur de la Rainforest, même les plantes d'eau sont recouvertes de verdure.

Petite maison victorienne à Melbourne.

Le Luna Park de St Kilda, à Melbourne.

Un torrent sacré dans la Daintree Forest.

Un immeuble des années 30, au centre de Melbourne.

Les cabines de plage de Brighton.

Monolithe étonnant au milieu du Désert, le mont Uluru offre un spectacle permament à toute heure du jour.

Un des merveilleux passages piétonniers au centre de Melbourne.

Détail d'une peinture sur les murs d'une grotte du mont Uluru.

Coquette petite maison victorienne de St Kilda, à Melbourne.

Un lézard dans la Rainforest.

Des planches à découper en camphrier.

Plusieurs petits objets semblables à ce que l'on peut trouver aux puces.

Des colliers aborigènes.

Un bol rempli de bonbons.

Un chapeau confectionné à la main.

Des coupes en disques vinyles.

Un carnet qui reprend des motifs de peinture aborigène.

Un panier faits par les aborigènes avec l'écorce d'un arbre de la Rainforest.

Des produits et crèmes aborigènes.

Un tissu sur lequel est imprimé un dessin.

Vert Victoria.

La gare de Maryborough, symbole de la fortune éphémère des chercheurs d’or de cette petite ville, un palais de style “Queen Anne” bâti en 1892 dont Mark Twain raconta “que toute lapopulation pouvait y tenir, chacun avec son sofa !”

La “Pole House”, icône architecturale rêvée par l’ingénieur Frank Dixon, résiste depuis les années 70 aux éléments, perchée sur son pilier à 50 mètres au-dessus de la Great Ocean Road, la mythique route tracée par les soldats au retour de la Première Guerre mondiale.

Le vignoble Jack Rabbit profite de l’air frais du détroit de Bass comme les dizaines de petitsvignerons des péninsules de Bellarine et de Mornington. Sa devise “Rire dans la nuit, danser au soleil, marcher et ne pas courir”. Il produit un “pinot grigio” médaillé.

Les cabanes “Dulc Cabins” nichées dans la forêt du parc national des Grampians combinent un chic minimaliste avec les poutres rustiques d’un refuge de bûcherons.

Gibson Beach est la seule plage du parc national de Port Campbell où l’on peut s’aventurer, grâce à une centaine de marches taillées dans la falaise. Elle est réservée aux promeneurs et aux surfers téméraires.

Bothfeet est un camp de base futuriste pour explorer à pied les 100 km de côtes entre Apollo Bay et les Twelve Apostles. Ses cabines préfabriquees, dessinées par l’architecte Steven Sainsbury du cabinet Ecoshelta, utilisent des matériaux totalement non polluants et sont simplement posées sur des plateformes dans la forêt.

Le Great Ocean Ecolodge est installé au coeur du domaine du Conservatoire écologique duCap Otway qui en protège la faune et la flore dont des centaines d’espèces de la famille des eucalyptus originaires d’Australie, comme ce gommier bleu, arbre-remède traditionnel des aborigènes.

Aux pieds des Macedon Range, une rustique ferme en briques de terre, typique des premiers domaines agricoles dédiés à l’élevage des moutons.

L'extravagant Mister Bromley

Les colonnades décrépites du balcon abritent une grue orientale en bronze, un lustre argentin,des dames-jeannes françaises en verre soufflé, un vase de céramique “Middle Earth” de l’Australien Michael Pugh et des chaises hautes “Tio” du suédois Chris Martin. Au sol, le carrelage est peint à la main.

Sur le palier d’un des escaliers badigeonné de poudre de pigment bleu océan, une verrière éclaire les poneys en grillage rouge de Tom Ripon, deux portraits d’enfants, des platsde céramique et une chaise brodée – le tout par Bromley lui-même –, un homme au bonnet rouge (anonyme), des lustres argentins et un buffet bas chinois.

Posant devant une oeuvre en cours, “L’enfant avec la lune”, David et sa femme Yu Yuge, styliste, sont entourés de tableaux des Australiens Mark Shaller et Victor Rubin, du Japonais Ito et d’un buste de l’ancien premier ministre australien Thomas Playford.

Sur fond de motifs op-art, deux abstractions colorées de Melinda Harper et David Band, une paire de statues indiennes de carnaval et un modèle de manège. À gauche, “Tall Boy” par Cherry Hood. Sur les canapés danois vintage 50 séparés par un banc de gymnase français, deux quilts “Pirate Boys” peints par David Bromley. À droite, jarre japonaise et ensemble de masques africains. Tapis turc.

Dans le bureau, au-dessus d’une baie découpée en éventail, un mobile en acier de machines volantes bricolé par Bromley tourne au-dessus d’un tabouret et d’une table basse de Mark Tuckey. Groupe de crânes en marbre, Tour Eiffel miniature, canapé en bois doré égyptien et chaise “Mademoiselle” de Philippe Starck (Kartell). Au fond, sur un socle de lames de pin “Young Painter”, bronze de Bromley.

En équilibre sur une rampe victorienne, statue peinte “Masked Boy” et, à côté, bronze sur socle “Boy with hammer” de Bromley. Au mur, paysage anonyme ukrainien, gravure de Bernard Buff et, “Visage” de Mark Schaller et dessin de Mclean Edwards.

Dans l’atelier, esquisses murales de scènes enfantines, tableaux de papillons et oiseauxet “Celebration”, un groupe en bronze soudé de sept enfants jouant, garçon au lance-pierres et maquette d’avion, toutes des oeuvres signées Bromley. Lustre en fer peint égyptien, nu japonais en bois, fuseau géant, patchwork de tapis kilims et masques africains.

À côté du mural op-art en tête de lit évoquant un abîme, une série de jeux d’enfant en tableaux, comme sur la couette, peints par David Bromley. Sur la colonne en pierre sculptée, souris fétiche en céramique.