Vue extérieure d'un hôtel particulier "Maison de la Pra" (Valence)

Chambre à coucher de l'hôtel "Maison de la Pra" (Valence)

DANS CET HÔTEL PARTICULIER PROVENÇAL TRANSFORMÉ EN CHAMBRES D’HÔTE, LA CUISINE A ÉTÉ DESSINÉE ET FABRIQUÉE SUR MESURE. CHALEUREUSE, LA DÉCO JOUE LA FANTAISIE.Un mélange hétéroclite foisonne dans cette cuisine conçue par Mario Moretti, un entrepreneur de Provence.Peinture de Jean-Paul Pancrazi. CUISINES A vivres

Cour pavée d'un hôtel particulier du XVIIIè à Nimes

Le Musée Baccarat installé à Paris dans l'ancien hôtel particulier de Marie-Laure de Noailles a été décoré par Philippe Starck: dans l'entrée, le lustre "Zénith" installé dans un aquarium

Le Musée Baccarat installé à Paris dans l'ancien hôtel particulier de Marie-Laure de Noailles a été décoré par Philippe Starck: l'escalier de l'entrée est éclairé par des fibres optiques; il se reflète dans un miroir géant

Le Musée Baccarat installé à Paris dans l'ancien hôtel particulier de Marie-Laure de Noailles a été décoré par Philippe Starck: la salle de bal
éclairée par les lustres "Solstice"

Le Musée Baccarat installé à Paris dans l'ancien hôtel particulier de Marie-Laure de Noailles a été décoré par Philippe Starck: un candélabre réalisé pour le tsar Nicolas II; sièges capitonnés

Le Musée Baccarat installé à Paris dans l'ancien hôtel particulier de Marie-Laure de Noailles a été décoré par Philippe Starck: la salle de restaurant

Le Musée Baccarat installé à Paris dans l'ancien hôtel particulier de Marie-Laure de Noailles a été décoré par Philippe Starck: jeux d'illusions dans les toilettes grâce aux miroirs sans tain

Le Musée Baccarat installé à Paris dans l'ancien hôtel particulier de Marie-Laure de Noailles a été décoré par Philippe Starck: une vitrine

Le Musée Baccarat installé à Paris dans l'ancien hôtel particulier de Marie-Laure de Noailles a été décoré par Philippe Starck: un lustre noir dans la pièce attenante à la salle à manger; sur la table, les célèbres verres "Harcourt"

Autour de la cheminée du cabinet de curiosités, éclairé par des vitraux germaniques du XVIe se mêlent, sur fond de cuir de Cordoue, une paire de bouteilles, une délicate Vénus de l'astronomie, des fusils indiens...

Cocktail de matières et d'objets sur le bureau Mazarin, époque Louis XIV

La vitrine des jades présente quelques chef-d'oeuvres chinois

Dans la rotonde de Balzac, dominée par son buste en marbre et les somptueuses boiseries surchargées de chimères

À Sarlat, l’église Sainte-Marie, réhabilitée par l’architecte Jean Nouvel, abrite aujourd’hui le marché couvert.

A Bordeaux, un hôtel particulier XVIIIè: le jardin

A Bordeaux, un hôtel particulier XVIIIè: la chambre s'ouvre sur le jardin par de hautes portes vitrées doublées de rideaux de taffetas de soie qui s'assortissent aux boiseries peintes en gris clair rehaussé de blanc

A Bordeaux, un hôtel particulier XVIIIè: esprit Napoléon III dans la véranda transformée en jardin d'hiver

A Bordeaux, un hôtel particulier XVIIIè: l'entrée se fait par le jardin

A Bordeaux, un hôtel particulier XVIIIè: le salon africain

A Bordeaux, un hôtel particulier XVIIIè: table dressée dans la salle à manger

A Bordeaux, un hôtel particulier XVIIIè: un canapé ancien recouvert de tissus achetés à Drouot; appliques italiennes et miroir du XVIIIè

A Bordeaux, un hôtel particulier XVIIIè: dans la chambre à coucher panneaux de tissus anciens sur le mur en boiserie; sur la cheminée un masque Bambara, au pied du lit un banc de style Louis XVI

A Bordeaux, un hôtel particulier XVIIIè: Dans la cuisine, évier en pierre, cuisinières à l’ancienne, carreaux de Delft et l’œil-de-bœuf; réfrigérateur caché derrière la petite porte vitrée en boiserie XVIIIe

A Bordeaux, un hôtel particulier XVIIIè: des carreaux de Delft ont été reproduits en trompe-l'œil sur un mur de la cuisine; les rideaux et les coussins des banquettes placées dans l'encadrement des fenêtres sont réalisés en kelschs, des tissus alsaciens anciens

A Bordeaux, un hôtel particulier XVIIIè: Des miroirs ont été intégrés dans les boiseries de la salle de bains

A Bordeaux, un hôtel particulier XVIIIè: meubles Napoleon III en bambou dans un cabinet de toilette

L'Hôtel d'Aussonville à Nancy est une résidence du XVIe

Le Musée de La Chasse et de La Nature à Paris: l'enfilade des salons 18ème

A Montmartre, dans cette belle maison Directoire, les cinq suites ont été imaginées par des artistes. La peinture noire du portail en fer contraste avec la chaux blanche qui recouvre la façade en pierre de la maison, construite en 1891. Dans le jardin, un lierre grimpant habille le tronc d'un érable.

A Montmartre, dans cette belle maison Directoire, les cinq suites ont été imaginées par des artistes. Pour faire une "chambre végétale suspendue au milieu des arbres", Martine Aballéa a retravaillé une de ses photos sur son ordinateur et l'a déclinée en lés de papier peint pour recouvrir les murs comme une fresque. Chaise de Bertoia, canapé en velours chiné et, au fond, la salle de bains vert acide.

A Montmartre, dans cette belle maison Directoire, les cinq suites ont été imaginées par des artistes. Dans la chambre signée Olivier Saillard, une salle de bains, conçue comme un atelier d'artiste avec des verrières en acier brut, constitue un îlot à fois ouvert et intime, habillé de pâte de verre noire du sol au plafond. Côté lit, en contraste, plusieurs teintes de blancs jouent avec la lumière sur les murs.

A Montmartre, dans cette belle maison Directoire, les cinq suites ont été imaginées par des artistes. L'ancien maquis de Montmartre a inspiré au paysagiste Louis Benech un jardin de plantes sauvages, mais très apprivoisées. Entre les dalles de pierre pousse l'helixine, au pied d'un mobiler en fer repeint en noir.

A Montmartre, dans cette belle maison Directoire, les cinq suites ont été imaginées par des artistes. Olivier Saillard a fait peindre en noir de hautes plinthes en trompe l'oeil, et imaginé une table aux tréteaux haut perchés pour que la télé soit à la bonne hauteur. Il a simplement posé deux oreillers blancs sur le fauteuil de planteur et utilisé du tissu de caban pour les rideaux et le couvre-lit.

Dans le salon, le sol est habillé d’un tapis vintage. Les fauteuils de famille ont été recouverts de tissu,les coussins, (Caravane et Deux mille huit), les lampes (Caravane) et la table “Bishop” d’India Madhavi.

Dans la chambre, une table de chevet, (Tetrel), un tableau d’une artiste japonaise acheté dans une foire, un Suzani ouzbek chiné au Pays basque (Textiles Society) et une lampe Philippe Hiquily (Galerie Yves Gastou).

Le couloir qui mène aux chambres des enfants à l’étage est habillé d’une peinture bleue de Farrow & Ball. Au mur, un vieux coucou, un panneau des pistes de ski d’Avoriaz, deux miroirs en rotin achetés à Vernaizon, un trophée cerf (Fleux’). Grande volière de Mathieu Challières. À droite, dans la salle de bains, on aperçoit des suspensions vintage de style scandinave (KRD).

Pour la chambre, Marie Ange a voulu une ambiance orientale : une table de chevet (Tetrel), un tableau d’une artiste japonaise acheté dans une foire, suzani ouzbek chiné au Pays basque, des textiles (Society) et une lampe Philippe Hiquily (Galerie Yves Gastou).

Deux lions “Komainu” japonais de la période Kamakura (XIIe) en terre cuite montent la garde au pied de l’escalier.
Table, Barn in the City, chaises “Wishbone CH24”,
design Hans Wegner, Carl Hansen & Son.
Suspension, “Endless”, Roll & Hill.
Au sol, pierre naturelle Moleanos gris.

Deux lions “Komainu” japonais de la période Kamakura (XIIe) en terre cuite montent la garde au pied de l’escalier.
Table, Barn in the City, chaises “Wishbone CH24”,
design Hans Wegner, Carl Hansen & Son.
Suspension, “Endless”, Roll & Hill.
Au sol, pierre naturelle Moleanos gris.

Un Californien à Paris. Collaborateur puis associé d’Andrée Putman, dont il a repris la direction de l’agence en 1997, l’architecte, décorateur et designer Elliott Barnes a fondé sa propre agence en 2004.

Unité parfaite en noir et bois.
Bien qu’elle ne fasse pas partie du projet de départ, la cuisine a été un vaste chantier.
Cuisine, Varenna pour Ebi, placage soft touch noir et orme naturel.
Plan de travail et crédences en granit Letano noir.
Sol en pierre naturelle Moleanos gris.

Effet de symétrie. La nouvelle implantation de l’escalier a permis de créer deux zones dans le salon auquel on accède d’un côté ou de l’autre. Design de l’escalier Elliott Barnes Interiors, marches en chêne naturel vernis, garde-corps en tôle noire cirée.
On admire le tableau “Planet 66 - Summer vacation”, de Takashi Murakami aussi bien depuis l’escalier que du canapé.

Lames de fond.
Miroir “Steps Tangleef finish”, Philippe Hurel, réalisation
Atelier Tourtoulou pour Elliott Barnes.
Lit de paresse en châtaignier teinté et coussin Elliott Barnes pour Philippe Hurel.
Tabouret “Tobias”, Philippe Hurel.
Service à saké en porcelaine jade.
Sol en chêne naturel huilé.

Jeu d’équilibre et d’époques.
Mis en valeur sur des étagères asymétriques, les objets d’art rapportés d’Asie dialoguent avec des classiques du design occidental. Canapé “Florence”, Knoll.
Fauteuils et tabouret “Barcelona”, Mies Van der Rohe, Knoll. Fauteuil “Shell”, Hans Wegner, Carl Hansen.
Suspension, Serge Mouille, Serge Mouille éditions.
Table basse “Bluff”, India Mahdavi.
Rideaux “Oslo Oyster”, Libeco.
Sol en chêne naturel huilé.

Rose tendre et manga pop. Tapis, Toulemonde Bochart.
Liseuses “Tosca”, Astro Lighting. Chevets “Bishop”, India Mahdavi.
Lampe de chevet “Don Giovanni”, India Mahdavi.
Rideaux “Breva”, Casamance. Sol en bois exotique.
Tableau “Tan Tan Bo”, Takashi Murakami.

Comme à Cambridge.
La bibliothèque tout en hauteur joue les cabinets de curiosités
pour des compositions d’objets regroupés par affinités, poteries chinoises, plans d’architecture ou un grand carré Hermès encadré. La table ronde et les chaises aux lignes néoclassiques sont inspirées du mobilier traditionnel chinois,
réalisation André Fu Living.

Pour vivre au vert, Véronique et François ont rajeuni et nimbé de fraîcheur un hôtel particulier haussmannien, désormais ouvert sur un jardin de ville en pente douce.
Lumière en perspective dans le salon.
Le canapé gris, Ernst Ambühler, a été chiné à Bruxelles, suspension Gaetano Sciolari.
Fauteuil “Slow Chair” de Ronan et Erwan Bouroulec, édité chez Vitra.
Tapis de Philippe Baudelocque pour Chevalier Édition. Coussins “Daïquiri Night” et “Springs Caviar” chez Élitis.

Écrin haussmannien pour écran vert.
Face au jardin, le salon mixe différentes époques du design :
la table ronde de Roger Capron des années 60-70,
une chaise en cuir Charlotte Perriand, et des tables en bois et marbre, création Véronique Cotrel.
Canapé “My Beautiful Backside”, design Nipa Doshi et Jonathan Levien, Moroso.
Table en métal bleu Ness, tapis Belnette, Chevalier Édition.

Format cathédrale dans la cuisine, sous cinq mètres de plafond qui abritent également la salle à manger.
La banquette à cannage et velours ras est une création Véronique Cotrel, comme le plateau de table qui prend appui sur un piétement Moooi.
Chaises Wishbone, Hans Vegner.

Véronique Cotrel et François Mille, un duo complice, à la ville comme à la scène, aux manettes de l’agence Véronique Cotrel.

Échappée vers la lumière.
Simplicité et intimité dans la chambre en entresol qui s’ouvre sur le jardin : peu de mobilier, des luminaires vintage, du linge de maison en lin, pour la fraîcheur et la sérénité.
Tapis, Chevalier Édition.
Plaids et coussins, Le Monde Sauvage.
Tableau de Lucien Langl

Miroirs mania. La collection de miroirs anciens a trouvé sa place dans ce meuble de rangements datant du Second Empire, époque de la construction de l’hôtel particulier

Terrasse éventail dans le jardin où la luxuriance de “l’arbre à papier (Tetrapanax papyrifera) et l’acanthe reflètent le motif de l’architecture”, explique le paysagiste francilien Daniel Danet qui a composé la palette végétale et la structure des espaliers en acier Corten et Kumaru (bois exotique).

Comme à Cambridge.
La bibliothèque tout en hauteur joue les cabinets de curiosités
pour des compositions d’objets regroupés par affinités, poteries chinoises, plans d’architecture ou un grand carré Hermès encadré. La table ronde et les chaises aux lignes néoclassiques sont inspirées du mobilier traditionnel chinois,
réalisation André Fu Living.

Dandy discret, André Fu a été consacré créateur de l’année 2016 au salon Maison & Objet Asia.
Parmi ses dernières réalisations, The Kerry Hotel à Hong Kong, avec les lanternes “Tactile” éditées par Lasvit.