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Le petit salon, comme un écrin. Christian Dior a voulu sa demeure comme un hymne au goût néo-provençal. Des bergères gondoles aux cache-pots en faïence dans le goût de Wedgwood, il y révèle l’éclectisme de ses choix, allant du XVIIIème siècle aux intérieurs romantiques, décorés de petits meubles volants, de jardinières… Au premier plan, un imposant lustre de Murano à dix lumières en verre soufflé et étiré, de forme cage.
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