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21 documents trouvés
Documents par page :
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Une militaire et une infirmière-médecin américaine en Afghanistan
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L'infirmière militaire Rose-Marie Blanchard
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La sergente Karine Smite, 23 ans, fait partie des 44 000 femmes engagées dans l'armée française.
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Russie : à l'école des petites patriotes.
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Kona a réussi l’exercice du passage de la sécurité dans un aéroport. Teresa Stofferan, sa maîtresse,la félicite. Grâce à son labrador, elle peut éloigner les souvenirs douloureux de la guerre.
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Chaque année, ils sont des milliers à revenir traumatisés du front. Alors, pour permettre à ces soldat(e)s américain(e)s de revivre au quotidien, une association leur confie un labrador. Un compagnon éduqué pour les aider à retrouver le sommeil, ne plus avoir peur de la foule …et même leur donner de l’affection.
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Le programme de dressage dure deux ans et est mené dans six prisons de l’Etat de New York.
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Condamnées à de lourdes peines, ces prisonnières ont eu le droit de dresser un labrador grâce à leur comportement exemplaire.
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Janet (au premier plan) est instructrice canine. Ici, elle apprend aux vétérans Ashley Crandall et John Russell Murray à se familiariser avec leur nouveau compagnon.
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Outre leur présence rassurante, ces chiens permettent même parfois d’améliorer les relations familiales.
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Ashley, qui souffre d’insomnie, se lève souvent avant l’aube. Avec Jasmine, rassurée,elle peut alors partir randonner dans les Rocheuses.
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Kaheesha Malik purge quinze ans de prison. Depuis qu’elle partage sa cellule avec le chiot qu’elle éduque, elle a retrouvé le sourire.
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Les détenues apprennent aux chiots à obéir à l’ordre «couvre-moi»: les soldats ont toujours peur de ce qui se passe dans leur dos.
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Le dressage des chiens a de multiples atouts. Il améliore même les relations entre gardiennes et prisonnières, comme ici entre Geraldine (à d.) et Val (à g.).
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Jasmine montre comment elle sait prendre le combiné du téléphone dans sa gueule, et poser sa patte sur le bouton des urgences.
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Kona ne quitte jamais Teresa. Même la nuit, où sa présence aide sa maîtresse à s’endormir.
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Un enfant pour faire la paix
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Batier, 26 ans, Ranguin et Cocer, 29 ans, de l’armée régulière kurde, sont en première ligne. Elles sont redoutées par les djihadistes de Daech, car se faire tuer par une femme, c’est perdreson ticket pour le paradis.
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Shaista Rarmani, 36 ans, une des rares soldates à être aussi mère. C'est son mari qui lui amène leur fils, Saamal, à l'heure de l'allaitement.
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Dans le quartier de Mar Mikhael, sur un rideau métallique, une oeuvre de street art qui ne manque pas d’ironie montre deux soldats armés dont l’un est en train de tracer le signe “Peace and Love” à la peinture rouge.