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46 documents trouvés
Documents par page :
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Tribus de filles, tribus de garçons, Quelle ambiance !
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Enquête sur la religion des évangéliques
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Enquête sur la religion des évangéliques
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Enquête sur la religion des évangéliques
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Enquête sur la religion des évangéliques
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Enquête sur la religion des évangéliques
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Enquête sur la religion des évangéliques
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Problèmes d'électricité en Mauritanie
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Problèmes d'électricité en Mauritanie: en brousse, le Gret, une ONG française, a installé des panneaux solaires qui permettent de faire fonctionner l’unique téléviseur du village.
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Problèmes d'électricité en Mauritanie: un salon de coiffure
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Problèmes d'électricité en Mauritanie: Nouakchott, la nuit
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Problèmes d'électricité en Mauritanie: N’deye fait fonctionner sa machine à coudre grâceà un branchement illégal qui lui coûte très cher.
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Problèmes d'électricité en Mauritanie: une enfant devant des fils électriques sur le sol
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Problèmes d'électricité en Mauritanie: une coopérative de femmes gère les frigos alimentés par des panneaux solaires.
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Problèmes d'électricité en Mauritanie: le frigo, signe extérieur de richesse, trône dans les pièces à vivre.
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Hiromi a décidé de rester. Pour protéger Yei, sa fille de 6 ans, elle tente de changer son mode de vie. Mais «se battre contre un ennemi invisible, c’est épuisant, dit-elle. Le risque, c’est de lâcher rapidement.»
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Hiromi a décidé de rester. Pour protéger Yei, sa fille de 6 ans, elle tente de changer son mode de vie. Mais «se battre contre un ennemi invisible, c’est épuisant, dit-elle. Le risque, c’est de lâcher rapidement.»
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Hiromi a décidé de rester. Pour protéger Yei, sa fille de 6 ans, elle tente de changer son mode de vie. Mais «se battre contre un ennemi invisible, c’est épuisant, dit-elle. Le risque, c’est de lâcher rapidement.»
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Hiromi a décidé de rester. Pour protéger Yei, sa fille de 6 ans, elle tente de changer son mode de vie. Mais «se battre contre un ennemi invisible, c’est épuisant, dit-elle. Le risque, c’est de lâcher rapidement.»
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Mitsuki, née après l’explosion, joue avec sa girafe et… un dosimètre.
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Hiromi a décidé de rester. Pour protéger Yei, sa fille de 6 ans, elle tente de changer son mode de vie. Mais «se battre contre un ennemi invisible, c’est épuisant, dit-elle. Le risque, c’est de lâcher rapidement.»
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Hiromi a décidé de rester. Pour protéger Yei, sa fille de 6 ans, elle tente de changer son mode de vie. Mais «se battre contre un ennemi invisible, c’est épuisant, dit-elle. Le risque, c’est de lâcher rapidement.»
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Hiromi a décidé de rester. Pour protéger Yei, sa fille de 6 ans, elle tente de changer son mode de vie. Mais «se battre contre un ennemi invisible, c’est épuisant, dit-elle. Le risque, c’est de lâcher rapidement.»
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Si ces élèves ont sport à l’intérieur, c’est parce que leurs parents l’ont demandé.
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Le journal publie régulièrement les mesures officielles de la radioactivité et le sens du vent.
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Dans certaines familles, le linge ne sèche plus à l’extérieur, et on achète de l’eau minérale (celle du robinet est réputée concentrer la radioactivité).
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Enquête: La vie en décalé des mamans solos
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Valérie, chauffeuse de bus, se lève à 4 heures du matin. Avant de rejoindre son travail, elledépose Lucas, 16 mois, à la crèche Baby Loup, ouverte vingt-quatre heures non-stop.
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Pour Valérie et Lucas, la crèche est devenue une deuxième famille.
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Valérie aime son métier malgré les horaires infernaux et les temps de trajet à rallonge: 90 min à l’aller comme au retour
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Valérie, chauffeuse de bus.
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Anaïs, 25 ans, en formation d’aide médico-psychologique, mère de Lilou, 3 ans 1/2
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Anaïs parcourt 30 km pour déposer Lilou chez ses parents, tous les mercredis et un week-endsur deux. Un soutien qui lui permet d’économiser sur ses frais de garde.
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«MES PARENTS, JE NE SAIS PAS CE QUE JE FERAIS»»
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Quand elle travaille la nuit, Aurélie se débrouille avec son ex ou ses voisins pour faire garder Loghann
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Aurélie, 35 ans, chef d’antenne dans une chaîne de télé, mère de Loghann, 5 ans
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Une semaine sur deux, elle peut aller chercher son fils à l’école… mais doit le quitter deux heures après.
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Maroc, retour d'en France
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Avec une croissance de 4 % par an, le Maroc attire les enfants de la diaspora. C’est à Marrakech que Souaâd, 31 ans, free-lance dans l’évènementiel, est venue s’installer. Son père,resté en France, y avait acheté une maison dans l’espoir de rentrer un jour.
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Ahmed a quitté le Maroc en 1971. Il y retourne souvent pour voir sa fille Hanane, qui y travaille depuis six ans.
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Hanane aime sa double culture. Elle a conçu un livre pour les petites filles qui parlent aussi les deux langues.
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L’entreprise de Myriam, Talent’in, est hébergée par l’incubateur de l’Association des femmes chefs d’entreprise du Maroc.
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Demain, Myriam rentre se marier en France. Cet été, elle organisera, à Casablanca, unecérémonie marocaine.
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Rebecca Gomperts (ici avec son assistante). Sur le net, son association prochoix propose des consultations pré-IVG, médicaments abortifs, soutien psychologique...
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Rebecca Gomperts (ici avec son assistante). Sur le net, son association prochoix propose des consultations pré-IVG, médicaments abortifs, soutien psychologique...
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Une dizaine de personnes dans le monde prennent en charge les 300 mails quotidiens venant d'Asie, d'Amérique du Sud, du Moyen-Orient...