Mosaïque
Liste
Diaporama
88 documents trouvés
Documents par page :
-
A Marseille, face au port industriel, une ancienne fabrique de pâtes a été transformée en penthouse par Eric Giraud et Carole Dubois
-
A Marseille, face au port industriel, une ancienne fabrique de pâtes a été transformée en penthouse par Eric Giraud et Carole Dubois: tapis, cageots et pots d'agaves sur le toit terrasse
-
A Marseille, face au port industriel, une ancienne fabrique de pâtes a été transformée en penthouse par Eric Giraud et Carole Dubois: cuisine réalisée à partir de matériaux de récupération
-
A Marseille, face au port industriel, une ancienne fabrique de pâtes a été transformée en penthouse par Eric Giraud et Carole Dubois: escalier en colimaçon réalisé à partir de planches à coffrages
-
A Marseille, face au port industriel, une ancienne fabrique de pâtes a été transformée en penthouse par Eric Giraud et Carole Dubois: la terrasse domine le port autonome
-
A Marseille, face au port industriel, une ancienne fabrique de pâtes a été transformée en penthouse par Eric Giraud et Carole Dubois: le salon au sol en béton
-
A Marseille, face au port industriel, une ancienne fabrique de pâtes a été transformée en penthouse par Eric Giraud et Carole Dubois: la chambre à coucher: papier peint gaufré peint en noir sur les murs,
-
A Marseille, face au port industriel, une ancienne fabrique de pâtes a été transformée en penthouse par Eric Giraud et Carole Dubois: dans la cuisine, le frigo a été repeint en noir
-
A Marseille, face au port industriel, une ancienne fabrique de pâtes a été transformée en penthouse par Eric Giraud et Carole Dubois: la salle de bains peinte en noir; meuble de rangement recouvert de couvertures de magazine
-
A Marseille, face au port industriel, une ancienne fabrique de pâtes a été transformée en penthouse par Eric Giraud et Carole Dubois: vue sur Notre-Dame de la Garde
-
L'appartement d'un collectionneur dans le Marais au décor exotique et kitsch: mobilier rapporté de l’étranger; collection de trophées “tigres” et “léopards”; cheminée décorée d’ex-voto; trois globes de mariée surmontés de pampilles, de plumes et de sirènes en coquillages
-
L'appartement d'un collectionneur dans le Marais au décor exotique et kitsch: mobilier rapporté de l’étranger; collection de trophées “tigres” et “léopards”; cheminée décorée d’ex-voto; trois globes de mariée surmontés de pampilles, de plumes et de sirènes en coquillages
-
L'appartement d'un collectionneur dans le Marais au décor exotique et kitsch: collection de boules à neige sur des étagères peintes en rose
-
L'appartement d'un collectionneur dans le Marais au décor exotique et kitsch: la chambre à coucher
-
L'appartement d'un collectionneur dans le Marais au décor exotique et kitsch: mélange de styles/Repasse MCM0452_SUPPL_30 IDÉES POUR JOUER AVEC LA COULEUR
-
L'appartement d'un collectionneur dans le Marais au décor exotique et kitsch: la salle à manger
-
A Marseille, l'appartement de la créatrice de bijoux Fabienne Collombel: le salon
-
A Marseille, l'appartement de la créatrice de bijoux Fabienne Collombel: table de salle à manger fabriquée à partir de poutres, de plaques cloutées et de tiges filetées recupérées; pouf en lamelles de sacs plastiques; tabourets récupérés dans un stock de l'armée
-
A Marseille, l'appartement de la créatrice de bijoux Fabienne Collombel: suspension "Fortuny" dans la chambre à coucher
-
A Marseille, l'appartement de la créatrice de bijoux Fabienne Collombel: la salle de bains tout en longueur
-
A Marseille, l'appartement de la créatrice de bijoux Fabienne Collombel: le patio sert de salon extérieur
-
A Reims: Un triplex fou, fou, fou
-
Les chambres sont situées au premier étage. Comme un clin d’oeil à “Alice au Pays des Merveilles”, Carlos s’amuse à brouiller les pistes avec de fausses portes de tailles diff érentes. Des pages de vieux Paris Match tapissent le palier de noir et blanc. Fauteuil recouvert de patchwork de tissu (myfab.com)
-
L’ancienne cage d’escalier a été intégrée au triplex. Jusqu’au deuxième étage, les contremarches déclinent des couleurs du nuancier RAL avec leurs références exactes. Il s’agit d’impressions numériques sur adhésifs (Stick Adhésifs). Les marches ont, elles, été recouvertes de peinture pour le sol (CPS).
-
Outre la déco décalée, Carlos a signé la transformation architecturale du lieu. Le bâtiment a été rehaussé pour créer un bureau en mezzanine auquel on accède par un escalier ultraléger appuyé sur un pilier habillé par une étonnante pile de BD. Fan de customisation, Carlos a fait recouvrir un canapé Cinna de toiles plastifi ées métallisées et choisi les fauteuils Qui est Paul ? retravaillés par l’artiste angoumoisine Moon. Collection de vespas des années 50 (Cyclarden).
-
La mezzanine abrite un bureau qu’un Superman géant démystifie. Pour le réaliser, Carlos asimplement scanné un album de BD et l’a fait imprimer sur un adhésif numérique (Stick Adhésifs).
-
Ce drôle de lustre a été imaginé par Carlos à partir d’un stock de vieilles lunettes trouvé chez Emmaüs et totalise quelque 280 paires. Au fond, un Macintosh Classic, la madeleine de Proustdes inconditionnels d’Apple.
-
Le designer est assis derrière un bureau qu’il a dessiné lui-même en s’inspirant d’une aile d’avion.
-
Des bardages en pin décapé habillent la cuisine Ikea et d’anciens bocaux en verre alimentaire ont été recyclés en suspensions. Les deux grandes tables à roulettes ont été réalisées à partir d’un parquet, poncé et vernis, cerclé et monté sur un piétement métallique. Au sol, Carlos a mélangé deux motifs de carreaux de ciment pour donner l’illusion d’une démarcation entre les anciennes pièces. La multiplication, faussement aléatoire, des boutons de placard et des bocaux en verre ajoute une touche d’humour.
-
La salle de bains est ouverte sur la chambre. Derrière le bloc équipé d’un lavabo et de rangements (Duravit), la douche à l’italienne en carreaux d’aluminium brossé, réfléchit la pièce grâce au miroir qui recouvre toute la cloison du fond. Dans le reflet, le mur de pierres et briques indique deux étapes de construction successives.
-
ROC en scène
-
En acquérant le chemin qui séparait la maison des anciens remparts du village, Philippe et Isa ont créé une vaste terrasse suspendue. La piscine à débordement, dont la mise en oeuvre a nécessité le forage de la roche pour y couler des fondations solides, donne la sensation de nager en pleine nature.
-
Metafort, c’est un site et un style : celui, chaleureux et sympathique, de Philippe et Isa Lichtenthurn. À la recherche de simplicité et d’une esthétique minimaliste, ils ont installé la cheminée sans coffrage, et laissés les conduits apparents. Au mur, toile de l’artiste brésilien Menelaw Sete, canapé Cassina offert pour leur mariage et coff re de mariage en laque rapporté de Birmanie.
-
À droite, pour composer une cuisine accueillante dans un esprit industriel, le couple a mélangé le métal, la pierre et le bois. Au-dessus du plan de travail en granit soutenu par des IPN, quatre tubes de métal rouillé, récupérés sur le chantier, ont été reconvertis en suspensions.
-
Le monte-charge, chiné sur e-bay et installé au début des travaux pour hisser les matériaux aux étages, a finalement été conservé pour son aspect pratique, il sert dorénavant à monter les bagages - et son esthétique décalée. Certains hôtes l’empruntent en cachette.
-
Dans les anciens combles prolongés par une grande terrasse tropézienne, un lit sur rails coulisse de l’intérieur vers l’extérieur pour dormir à la belle étoile. Le système sur mesure a été imaginé par le beau-père d’Isa qui est ingénieur. La nuit, à presque 400 m d’altitude, le spectacle par temps clair est fascinant. Lampes Ikea.
-
La maison se dresse sur un promontoire rocheux bordé de ruines et offre un point de vue grandiose sur la nature environnante. On y observe parfois des aigles, des bouquetins, des biches ou des sangliers.
-
Résidence d'artiste.
-
De la cheminée d’origine, Benjamin n’a conservé que le foyer qu’il a habillé de briques réfractaires peintes et entourées de métal, puis inscrit dans un large cadre noir qui lui donne encore plus d’importance. Le monumental portrait de David Hockney, peint par Benjamin d’après une photo de l’artiste, et celui du guitariste de flamenco Diego El Cigala posé au sol,appartiennent à une série consacrée aux “Hommes de l’art”. Sur la table d’atelier, une série de photophores (Asa). Fauteuils (Fly).
-
Pour personnaliser la cuisine blanche toute simple (Ikea), Benjamin et sa femme Alexandra ont multiplié les touches de noir : fenêtres en aluminium peint, plaque de cuisson et bac évier. Séduits par le motif obtenu par hasard en passant un rouleau entre les deux fenêtres, ils ont finalement choisi de laisser le mur inachevé. Un plateau en métal martelé et peint (Alinéa) tient lieu de crédence. Chaises chinées, carafe Jars.
-
En supprimant les combles au-dessus de cette partie du salon, le couple a récupéré une hauteur sous plafond idéale pour exposer les grands formats de Benjamin. Ici, “Les Chemins de la Connaissance”et “La Vision rose de Lili” de la série des “Plages”. Bahut chiné aux Puces de Marseille (Igor & Abi), suspension La case de cousin Paul.
-
Sur la mezzanine, le bureau et les placards en chêne ont été dessinés et réalisés par l’ébéniste et graphiste Mandrak Tool, dont on retrouve les étonnantes impressions sur bois au mur. À l’écran, une scène de plage photographiée par Benjamin servira de point de départ à une nouvelle toile, tandis que celle sur le côté a été réalisée à partir d’un cliché insolite pris par Paul, le fils de Benjamin, alors âgé de 5 ans.
-
La pose d’IPN – poutrelles en acier – a permis de décloisonner l’espace. Pour accéder aux chambres et au bureau, aménagés dans les anciens combles, l’architecte Jérôme Pichoux a imaginé un escalier à double volée en bois et métal à la fois théâtral et graphique. En haut du mur blanc, une galerie de portraits en noir et blanc réalisés par Alexandra. À droite, des dessins de carpes Koï. Au sol, des skates témoignent de la passion de Benjamin pour la glisse.
-
Sur la mezzanine bureau protégé par un garde-corps métallique, l’imposante charpente attire le regard. La chaise – pièce unique en chêne et acier – est un hommage du designer et ferronnier Thierry Cruz à Gustave Eiffel. À l’intérieur de l’un des caissons, des boîtes de munition trouvées dans un surplus de l’armée sont devenues des rangements.
-
Le plafond est l’unique vestige des peintures d’origine qui décoraient la maison construite en 1914. En tête de lit, le triptyque “Trois fois rien” et au mur, “Blue Note”. Sur la cheminée, des champignons en tricot de la créatrice Nanou Tissier côtoient avec humour un buste d’époque.
-
En deux tons, trois mouvements
-
Dans les deux anciennes pièces de réception réunies pour n’en faire plus qu’une, on a installéune verrière qui accueille la cuisine et donne à l’appartement un air de maison-atelier. Si l’implantation reste classique (coin salon, coin repas, cuisine), l’originalité et la modernité du projet tiennent aux jeux de plafond, – avec ses ruptures de moulures et de niveaux –, à l’absence de porte, au plancher peint et surélevé. Fauteuils Marie’s Corner, applique de Jean Prouvé, table et desserte Atelier 154, chaises Alki de Jean-Louis Iratzoki. Tables bassesCaravane. Papier peint au fond, Scion.
-
Coloriste attentif, Robert Gervais a choisi une palette bicolore, claire et lumineuse, qui donne une unité au lieu : le jaune maïs des fauteuils (Marie’s Corner) et des chaises (Alki) vient réchauffer le gris clair de la peinture (Ressource), des rideaux (Aleth Vignon) et du canapé (Desio). Pour l’ameublement, Robert Gervais a travaillé avec Kiberdesign qui accompagne ses clients dans leur choix de mobilier, luminaires et textiles.
-
Pour élargir le couloir de distribution tout en préservant les moulures de la chambre, l’architecte a rétréci la profondeur de la pièce et créé un décalage entre la cloison et le plafond. Dans le couloir, le faux plafond coïncide avec le début de la corniche côté chambre.
-
Installée à l’emplacement de l’ancienne cuisine, la salle de bains dispose d’une ouverture et profite donc de la lumière naturelle, comme dans une maison. Meubles Sanijura (Point P).
-
Robert Gervais a mis en valeur les carrelages du plan de travail et de la crédence (un grès cérame de Patricia Urquiola dans l’esprit des carreaux de ciment) tandis que les fonctions techniques ont été intégrées le plus discrètement possible. Le jeu de volumes au plafond et les lignes de la verrière rythment l’espace.
-
La zone de cuisson a été dissociée du plan de travail pour rester invisible depuis le séjour et la hotte oblique (Whirlpool) choisie pour son faible encombrement. Une desserte mobile (Atelier 154) complète le coin repas.
-
En créant un coin bureau et rangement entre l’ancien conduit de cheminée et la cloison de la chambre, l’architecte d’intérieur achève sa mission. La niche équipée de médium peint se fond dans le décor. Chaise Alki de Jean-Louis Iratzoki.
-
Des cloisons conçues pour être déplacées, des motifs graphiques qui délimitent l’espace…Deux idées fortes que l’architecte Laurent Lo Monaco a testées dans sa maison manifeste.
-
Pour choisir les motifs de la cuisine, l’architecte s’est inspiré d’un sol des années 30 remarqué dans un restaurant (Faurie, en Ardèche) et, pour le mur, du dessin d’un torchon (Hay) : ces lignes permettent d’intégrer les poutres dans le décor et atténuent visuellement la hauteur sous plafond (3,40 mètres). La lampe “Aerostat” est signée Guillaume Delvigne (Fabbian), la corbeille à fruits Ionna Vautrin (Moustache), le vase est une collaboration de ces deux designers (Moustache). Boîte en porcelaine de Pierre Favresse (Petite Friture).
-
Caché derrière la bibliothèque, l’escalier qui mène du séjour à la chambre est à pas japonais (à pente plus forte, avec des marches décalées) afin d’occuper le moins de place possible.
-
Au premier étage, la bibliothèque qui rythme le séjour concentre de nombreuses fonctions : elle sert de cloison, de porte et de meuble, accueille le radiateur et le palier de l’escalier, camoufle la plomberie et l’électricité dans sa plinthe et laisse circuler la lumière entre les étages. Fauteuils danois de Borge Jensen & Sonner, coussins Ferm Living chez Blou, tapis Arte Espina.
-
Dans la cuisine, l’îlot central monté sur roulettes permet de moduler l’espace, en agrandissantla partie cuisine ou le coin repas. On peut aussi s’en servir comme desserte en l’adossant au mur. Les placards en medium peint dissimulent l’escalier qui conduit à la cave ainsi que celui qui mène au séjour.
-
Chaque escalier a été pensé en fonction de la fréquence de son utilisation. Très graphiquedans son décor en noir et blanc, celui qui relie cuisine et salon est le plus emprunté, c’est donc le plus grand et le plus confortable.
-
Sous la toiture surélevée, la chambre installée dans les combles est assez haute (4,50 mètres) pour créer une mezzanine bureau. Dessous, l’espace est dédié au rangement avec un caisson mobile qui permet de moduler l’espace. Le lit en medium teinté dans la masse a été dessiné par Laurent Lo Monaco. Vase de Pierre Charpin.