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L'appartement de Myriam et Dominique Balaÿ-Devidal: dans le salon, murs bruts, meubles chinés et peints
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L'appartement de Myriam et Dominique Balaÿ-Devidal: lanterne en soie chinoise
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L'appartement de Myriam et Dominique Balaÿ-Devidal: dans le salon, une banquette “Princesse au petit pois” (Caravane), une banquette vintage, des fauteuils scandinaves chinés habillés de coussins fleuris (Robert Le Héros), et des gros coussins de sol (Robert Le Héros). Un lit de camp sur lequel est posé un plateau marocain sert de table basse. Coussins en lin (Merci), tissu à pois et fleurs (Caravane), théière Tsé Tsé. Sur le mur, des gravures et des dessins d’artistes. Sols d’origine, en dalles de pierre de Nîmes taillées à la main.
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L'appartement de Myriam et Dominique Balaÿ-Devidal: dans la chambre d'enfant, lampe des années 70 chinée dans une brocante et papier peint (Osborne & Little). Le bureau, la chaise de cuisine 50’, et les meubles de maison de poupée ont été chinés. Les volets intérieurs ont été peints en jaune
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L'appartement de Myriam et Dominique Balaÿ-Devidal: la chambre du couple, peinte en blanc: sur le lit, une housse de couette et des taies en coton (Valérie Barkowski pour Bandit Queen) et une courtepointe fabriquée par Myriam dans des “lungi” indiens (pièces de fin coton imprimé). Au sol, en guise de tapis, un plaid en coton à carreaux (Caravane). Le fauteuil ancien a été habillé par Myriam d’un tissage de lanières de tissus anciens.
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L'appartement de Myriam et Dominique Balaÿ-Devidal: tabouret peint en blanc près de l'escalier et suspension en papier
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L'appartement de Myriam et Dominique Balaÿ-Devidal: dans la chambre d’amis, les murs bruts. Au plafond, un lustre en fil de fer et perles. L’armoire chinée peinte . Sur le lit, un boutis en soie ancien et des taies en lin. Paravent en tissu fleuri (Atelier LZC). Corbeille chinoise en papier mâché et, en guise de table basse, un moulin à grains afghan peint. Gravures (Guacolda).
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L'appartement de Myriam et Dominique Balaÿ-Devidal: dans le couloir, un escabeau de bibliothèque devant un lé de papier peint en trompe l’œil de Deborah Bowness (The Collection) répond à un mur de livres alignés sur des étagères en bois. Un lustre de fleurs inspiré de ceux de Paola Navone. Tapis en plastique tressé.
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L'appartement de Myriam et Dominique Balaÿ-Devidal: la salle de bains carrelée de carreaux de ciment récupérés. Panier à linge et tabourets en pneu (Tadé)
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Objets décoratifs, vases et plat vert amande photographiés devant une toile de Laurence Amélie
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Vaisselles rose et blanche déposées sur une table basse en médium photographiée devant une toile de Laurence Amélie
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Vase, bougeoir surmonté de perroquets, bouteille en céramique déposés sur un guéridon en contreplaqué photographié devant un tableau de Lautrence Amélie; chaise en métal bleu
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Objets de décoration jaunes déposés sur un tabouret en bois laqué photographié devant une toile de Laurence Amélie
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Lanterne en métal laqué, coupe ronde en bois, pied laqué fluo et vase en céramique bicolore photographiés devant un tableau de Laurence Amélie
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Lustre en papier de soie sur fil de fer, fauteuil en acier et contreplaqué, arrosoir en biscuit de porcelaine, coupelle “arbre” en porcelaine et petit vase “fleur” en nylon photographiés devant un tableau de Laurence Amélie
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Quand une maison classique devient le terrain d’action d’une styliste fantaisiste, le résultat est poétique et léger comme un oiseau. La preuve en trompe l’œil chez Sandrine Ziegler-Munck, créatrice de la marque Mérésine.
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Quand une maison classique devient le terrain d’action d’une styliste fantaisiste, le résultat est poétique et léger comme un oiseau. La preuve en trompe l’œil chez Sandrine Ziegler-Munck, créatrice de la marque Mérésine.
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Dans l’entrée, le mur du fond est décoré d’une impression numérique représentant un canari posé sur une cheminée (procédé “Alyos”, design Sandrine Ziegler-Munck). Fauteuil en plastique moulé à pieds pivotants “Galaxy” de Svensson et Sandström des années 70.
Coussin “Vanité” créé par Sandrine.
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La salle à manger reflète l’esprit de la maison : côté design, une table en bois laquée réalisée sur mesure, des chaises “Diamant” de Harry Bertoia et un lustre en Led de Jean-Luc Le Deun. Côté fantaisie, le tableau “Repas de noces à Yport” (1886) du peintre Albert Fourié qui, dans sa version revue et corrigée tout en transparence et en jeux de pastilles, tapisse entièrement le mur (procédé “Alyos”, collection Sandrine Ziegler-Munck). Bougeoirs “Visage d’enfant” de Peter Larsen, fioles de laboratoire détournées en soliflores.
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Dans l’entrée, Sandrine et Hervé ont exposé leurs objets fétiches, comme des trophées: Considérée comme une pièce à part entière, l’entrée sert de lieu d’exposition à une collection d’ex-voto rapportés de voyages et un mélange d’objets hétéroclites présentés sous cloches sur un meuble ancien peint en blanc.
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Dans l’escalier qui mène à l’étage des enfants, le mur est décoré d’un accrochage de photos de famille. Sur les contremarches, une citation de l’écrivain et journaliste Louis Pauwells, écrite avec des stickers.
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Dans la chambre, une sculpture murale de Peter Larsen sert de tête de lit. Les housses de couettes sont des draps anciens en lin que Sandrine a cousus ensemble. Au pied du lit, une paire de chaussures trône dans une boite en Plexiglas. Suspension “Cocon” (Céline Wright) et lampes de chevet “Tolomeo” (Artemide).
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Contrairement aux autres pièces de la maison qui ont subi de gros travaux de rénovation, la cuisine a simplement été complétée par des caissons de bois peints dans lesquels sont exposés des objets fétiches, pour la plupart alsaciens. Une petite lampe blanche chinée est posée là, tel un intrus. Les suspensions ont été fabriquées par Sandrine avec des bouteilles anciennes de vins d’Alsace. Parmi les objets de cuisine, une vierge en verre soufflé de Meisenthal, un vase doré “Poison” (Kuehn Keramik), le vase “Avril” des Tsé & Tsé, une carafe en cristal taillé d’Arzwiller, un bloc de papier de Peter Larsen,un portrait peint d’Antoine Helbert et une lithographie “Caddie” d’Hervé Munck.
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Carouschka a décidé l’emplacement de chacune des fenêtres. Dans le salon, les hublots laissent apercevoir les bateaux au loin. La table basse et le tapis sont des créations de l’artiste.
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Carouschka a décidé l’emplacement de chacune des fenêtres. Dans le salon, les hublots laissent apercevoir les bateaux au loin. La table basse et le tapis sont des créations de l’artiste.
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Vue sur les toits de zinc qui rappellent Paris à l’artiste.
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La cuisine dessinée par Carouschka mélange le bouleau et le marbre blanc. Lampes de chirurgie suédoises des années 30 et chaises Thonet.
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Carouschka vit dans un monde de lettres et d’images, sa bibliothèque l’enveloppe du sol auplafond, comme une bulle au centre de laquelle trône un fauteuil en métal des années 30. Lampe de l’architecte suédois Uno Noren.
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Bel exemple de cohabitation entre l’acier et le bois, l’escalier qui sépare les deux niveaux est en bouleau blanchi au sirop de pin comme au XVIIIe siècle. On aperçoit la trace des anciennescheminées dans le mur qui répond au dessin des marches. La porte vitrée aux lettres sablées est une création de Carouschka.
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Le studio-atelier était à l’origine un atelier de peinture puis celui d’un photographe. Carouschka a conservé le volume et ses emménagements, installé un poêle à bois et construit cette incroyable verrière.
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Peinture, collages, sculpture, architecture, Carouschka Streijff ert passe de l’un à l’autreavec la même aisance. Dans un panier, des petits morceaux de nature qu’elle coupeet écorce sur son île.
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Sol en marbre, baignoire en Corian aux allures de gros galet, et robinetterie, coll. “Minimal”, design Claudio Silvestrin pour Boffi . Des paniers africains en guise de rangement.
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À une heure au sud de Lisbonne, cette maison contemporaine s’intègre à merveille dans le paysage sauvage de la péninsule de Troia. Entre plages de sable fin et grands pins à perte de vue, on y vit aussi bien dedans que dehors.
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Chaque fin de semaine, comme tous les “portenos”– citadins en quête de nature –, Maria José Tomatis fait une cure de détente dans sa cabane au bord du fleuve El Tigre, sur l’estuaire du Rio de la Plata.
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La terrasse est un havre avec ses canapés et fauteuils traditionnels en rotin blanc. Tapis en laine teinte avec des pigments naturels (Elementos Argentinos). Pots en porcelaine chinoise de la boutique de Maria José.
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Aux premiers froids, on se réchauffe autour d’un poêle à bois en fonte aux allures scandinavesinstallé dans une alcôve peinte en turquoise.
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La terrasse couverte à l’arrière de la maison a été repeinte en bleu ciel et blanc pour accentuerl’impression de douceur. Coussin en laine brodé de fleurs (Elementos Argentinos).
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Une fois franchi le ponton près duquel le bateau de Maria est amarré, on vit au rythme du vent dans les saules.
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Un refuge en bois blotti au milieu d’un jardin exubérant. Cette cabane de jardin, vitrée et peinte en vert vif, est devenue le lieu favori de la famille : on l’appelle la “Cristal Room” ; les fauteuils en osier blanc invitent à un moment de détente. Tapis vintage et coussin à fl eurs en laine brodée et teinte à la main (Elementos Argentinos
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Vitrée sur ses deux faces, la cheminée de la pièce à vivre fait office de séparation virtuelle entre le salon et la salle à manger. Où que l’on s’installe, sur les canapés en cuir ou en lin (Bombaamor) ou sur les chaises “DSR” à pieds tour Eiffel dessinées par Charles et Ray Eames en 1950 (rééditions Vitra chez Sao Domingos à Lisbonne) réparties autour de la table en bois d’eucalyptus (Bombaamor), on profite de la vue à travers les grandes baies.
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À une heure au sud de Lisbonne, cette maison contemporaine s’intègre à merveille dans le paysage sauvage de la péninsule de Troia. Entre plages de sable fin et grands pins à perte de vue, on y vit aussi bien dedans que dehors.
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Entre les deux ailes de la maison, le patio est l’endroit le plus agréable pour prendre le petit déjeuner. Table en bois et acier et chaises “DSR” de Charles et Ray Eames en 1950 (rééditions Vitra chez Sao Domingos).
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À l’heure de la sieste, si près de la maison et déjà au milieu des pins, une banquette-lit idéale pour le farniente. La terrasse laissée brute se patine au fil du temps pour mieux se fondre dans le paysage de sable.
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Atmosphère de confort et de simplicité dans la cuisine qui alterne bois stratifié et inox poli (Fabri). Elle est éclairée par une suspension de style industriel (Ikea).
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Derrière la cuisine, à l’abri d’une dune et d’un mur de béton, on s’installe le temps d’un café pour profiter des premiers rayons du soleil. Chaises en cuir dans le style des années 50 (Area Store).
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Dans la chambre orientée à l’Ouest, le lit est juché sur un socle de béton à la bonne hauteur pour profiter, même couché, de la vue sur les pins alentour. Couvre-lit en coton brodé rapporté du Mexique.
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La maison a été dessinée par l’architecte lisboète Teresa Caldeira dans un style 50/60 qui mêle courbes et lignes droites, bois et béton. Toutes les baies vitrées sont équipées de volets en bois qui gardent la maison fraîche. Des chaises longues en plastique blanc font face à un jardin japonais, seul coin de nature “domptée”.
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La salle de bains, tout en béton ciré doux et frais au toucher, est à la fois spacieuse et fonctionnelle. La douche ouverte a vue elle aussi sur le paysage environnant.
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A Londres: Magic broc'
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Beau mix de styles dans le vestibule où une vieille pièce de chêne brut transformée en console par Jo Willer côtoie une horloge suédoise gustavienne provenant d’une prise de vue pour Designers Guild. C’est de ce hall que part l’escalier en bois qui dessert les quatre niveaux, tel un “ruban brun qui se déroule dans un cube blanc”.
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Au rez-de-chaussée, l’un des deux salons donne sur la rue. Jo a trouvé les volets intérieurs en bois dans une benne à Madrid, “ils avaient tout juste la bonne dimension !” Canapé (Designers Guild) ; fauteuil scandinave 60’ recouvert de damas (Designers Guild). À gauche, tableau de Trevor Bell et, au-dessus de la cheminée, collage de Breon O’Casey.
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Dans la salle à manger du rez-de-jardin, la table et les chaises de style gustavien ont été chinées sur diff érents marchés aux puces de Londres. Comme dans toute la maison, Jo a décoré la pièce de fleurs et de feuillages de saison
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À l’inverse des cuisines aménagées, celle-ci est composée de diff érents meubles anciens que Jo a repeints : la table est suédoise et les chaises sont anglaises, comme le meuble au plan de travail en marbre blanc.
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Jo aime particulièrement cette grande cheminée de briques blanches pour laquelle un ami artiste a réalisé une grille pare-feu. Au sol, l’un des nombreux tapis en laine que Jo a rapportés de Marrakech.
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Le lit ancien en fer forgé oxydé du XIXe se mélange harmonieusement aux collections de boîtes en tissu anciennes de Jo. Courtepointe indienne et coussins vintage chinés aux Puces.
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La salle de bains a été entièrement “reconstituée” à l’ancienne avec une baignoire sur pieds qui vient d’un château en Normandie, un tapis suédois en coton défraîchi et un tableau venu de chez de sa grand-mère.
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Le bureau bibliothèque croule sous les livres de toute la famille. Fauteuil scandinave des années 50 recouvert d’un quilt en tissus anciens. Au-dessus de la cheminée, le dessin de William Turnbull a été choisi par le mari de Jo, Chris Stephens, directeur d’accrochage à la Tate Britain. Tapis de Marrakech.