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Dans le “Palais des cheminées idéales” de Léocadie, les six pièces – salon, chambre, cuisine-barbecue, sauna, bureau de speed-dating et sèchecheveux avec vue – comportent toute une cheminée détournée de son usage initial. Au milieu de la chambre, tapissée de couvertures, trône le lit chauffé par un foyer en briques. Un tuyau relié à l’âtre assure l’évacuation fictive de la fumée vers l’extérieur. “Nous tentons de restituer une forme d’élégance à partir d’objets hétéroclites et de créer de l’harmonie avec des différences.”
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Dans le “Palais des cheminées idéales” de Léocadie, les six pièces – salon, chambre, cuisine-barbecue, sauna, bureau de speed-dating et sèchecheveux avec vue – comportent toute une cheminée détournée de son usage initial. Au milieu de la chambre, tapissée de couvertures, trône le lit chauffé par un foyer en briques. Un tuyau relié à l’âtre assure l’évacuation fictive de la fumée vers l’extérieur. “Nous tentons de restituer une forme d’élégance à partir d’objets hétéroclites et de créer de l’harmonie avec des différences.”
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Avec ses panneaux monochromes, ce bâtiment de la rue Edison prend des airs de trompe l’oeil bollywoodien. Au-delà du choc des couleurs, “l’auditorium de façade” – c’est le nom de cette installation – joue surtout sur les sons : bruits de voix, notes de musique, échanges de balles de tennis… s’échappent de hautparleurs dissimulés, créant l’illusion d’une activité derrière les murs aussi intense qu’intrigante.
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Pois, rayures, carreaux, éviers reliés par un dispositif alambiqué de tuyaux : la fantaisie est la seule logique à l’oeuvre dans la salle de bains du “Palais des Cheminées”.
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Ces constructions de brique – “Les trois petits corons”, dont une seule est un appentis d’origine sont en quelque sorte les rejetons de la Cité des Électriciens.
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Dans le “Palais des cheminées idéales”, le salon est monté sur roulettes et la fausse cheminée évoque la chaleur du foyer.
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Des boulets de charbon ruissellent symboliquement de douze charbonnières fixées au mur pour s’entasser dans des brouettes jaune citron.
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Du sable a été déversé au sol et une promenade en palettes dessinée tout le long du parcours qu’elle permet de baliser.
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“La maison au Courant” a été inaugurée en septembre 2009, après la deuxième résidence des “Pas Perdus” à Bruay-La-Buissière. Dans le salon, des baignoires tendent leurs bras au visiteur qui peut détailler avec curiosité les motifs de la tapisserie.
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Le designer et éditeur néerlandais investit l'ancienne usine Philips d'Eindhoven pour en faire un restaurant, un lieu d'exposition, boutique et un restaurant
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Le designer et éditeur néerlandais investit l'ancienne usine Philips d'Eindhoven pour en faire un restaurant, un lieu d'exposition, boutique et un restaurant
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Le designer et éditeur néerlandais investit l'ancienne usine Philips d'Eindhoven pour en faire un restaurant, un lieu d'exposition, boutique et un restaurant
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Le designer et éditeur néerlandais investit l'ancienne usine Philips d'Eindhoven pour en faire un restaurant, un lieu d'exposition, boutique et un restaurant
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Le designer et éditeur néerlandais investit l'ancienne usine Philips d'Eindhoven pour en faire un restaurant, un lieu d'exposition, boutique et un restaurant
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Le designer et éditeur néerlandais investit l'ancienne usine Philips d'Eindhoven pour en faire un restaurant, un lieu d'exposition, boutique et un restaurant
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Le designer et éditeur néerlandais investit l'ancienne usine Philips d'Eindhoven pour en faire un restaurant, un lieu d'exposition, boutique et un restaurant
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Le designer et éditeur néerlandais investit l'ancienne usine Philips d'Eindhoven pour en faire un restaurant, un lieu d'exposition, boutique et un restaurant
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Le designer et éditeur néerlandais investit l'ancienne usine Philips d'Eindhoven pour en faire un restaurant, un lieu d'exposition, boutique et un restaurant
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Le designer et éditeur néerlandais investit l'ancienne usine Philips d'Eindhoven pour en faire un restaurant, un lieu d'exposition, boutique et un restaurant
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Tokujin Yoshioka nous a accueillis dans son agence, à Tokyo. Créateur de l’année du salon Maison & Objet, ce designer d’émotions pose également son empreinte au musée d’Orsay.
Tokujin Yoshioka est assis sur un de ses bancs en verre optique “Walter Block”. À Paris, plusieurs de ces bancs sont installés dans la galerie impressionniste du musée d’Orsay.
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À PARIS: UN LOFT MODÈLE RÉDUIT: 28 mètres carrés au 4e étage d’un immeuble haussmanien: à partir de cette micro surface, mais très bien située et baignée de lumière naturelle, l’architecte Aurélien Lespinas a imaginé un pied-à-terre idéal.
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Tokujin Yoshioka nous a accueillis dans son agence, à Tokyo. Créateur de l’année du salon Maison & Objet, ce designer d’émotions pose également son empreinte au musée d’Orsay.
Tokujin Yoshioka est assis sur un de ses bancs en verre optique “Walter Block”. À Paris, plusieurs de ces bancs sont installés dans la galerie impressionniste du musée d’Orsay.
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1. Sous la plume de Tokujin Yoshioka, le dessin de la formation organique du cristal naturel prend la forme d’une calligraphie.
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2. Sous vitrine, un exemplaire de la “Venus Crystal Chair”. 3. Vue de l’entrée du studio de Tokujin Yoshioka, à Tokyo. 4. Le designer pose avec une stalactite
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Vue de l’entrée du studio de Tokujin Yoshioka, à Tokyo
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Le designer pose avec une stalactite de cristal.
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Dans la pièce principale, un coin salon composé d’un fauteuil en frêne et cuir “Safari” de Kaare Klint (La Boutique Danoise), d’un siège en rotin 50 (Merci), trois petites tables en fibre laquée “Lalinde” (Galerie Sentou). Vase cerclé de bois, Chemex (Galerie Salon) et un lampadaire “Gras”, édition DCW (Home). Au fond, la cuisine en chêne et marbre de Carrare pour le plan de travail, éclairé par des spots nichés dans le plafond, ou simplement par deux lampes “Cornette” à pinces en métal anodisé rouge (Tsé & Tsé). Robinetterie Zuchetti. Sur l’étagère du haut, un pichet Astier de Villatte (Galerie Salon), pots danois en métal émaillé rouge, vert et blanc, théière en verre (Emporium). Dessous, assiettes en métal émaillé (Emporium), vaisselle en faïence émaillée surpiquée (Tsé & Tsé). Plat en faïence, Astier de Villatte (Galerie Salon). Bouteilles en verre “Ballina” (Galerie Sentou). À droite, vase “7 jours” (Tsé & Tsé) et tableau de Bergerol.
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La maquette du studio, vue d'en haut
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Sur les étagères, tableau orange de Gérard Traquandi (RueVisconti), objets africains (Galerie Maine Durieu), éléphant en pierre (Alice Puech), photo tirage sur verre d’Anton (Galerie Sit Down), bouteilles en céramique (Joe Christoferson).
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Côté chambre, le lit est placé dans un angle et bénéficie de la lumière du jour. Coussins unis et à fleurs (Caravane Chambre 19), lampes “Cornette” à pince blanches (Tsé & Tsé). Au pied du lit, des plaids (Secret Maison et Chambre 19) sont posés sur le banc en bois et métal “Pirkka” de Tapiovaara (Home). À gauche sur l’étagère, un tableau d’Alexandra Chauchereau.
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Dans la salle de bains, on retrouve le marbre de Carrare. La trappe sanitaire est dissimulée sous un plateau en bois : à côté, une grosse bouteille d’“Eau Chic” Astier de Villatte (Galerie Salon) et une serviette nid-d’abeilles (Khadi and Co). Robinetterie Zuchetti, vasque Leroy Merlin.
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Fondateur de l’agence de design Nendo, basée entre Tokyo et Milan, Oki Sato est nourri d’influences très diverses. De passage à Paris où deux galeries lui consacrent une exposition, il nous livre les clefs de son processus créatif.
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Patrizia Moroso, géniale éditrice de mobilier, a longtemps rêvé de cette maison, avant de trouver le terrain, dans sa ville natale d’Udine, et le maître d’ouvrage : Patricia Urquiola. Son amie signe ici sa première réalisation architecturale, une construction hors normes, toute en bois et métal rouge amarante.
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Le coin salle à manger, organisé autour d’une table de cantine récupérée dans une association et de chaises dépareillées : le cannage de deux d’entre elles a été remplacé par un tissage de lacets de coton. Devant la fenêtre, un bureau et des chaises d’école. La suspension et la lampe industrielles ont également été chinées.
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La maison est construite sur deux niveaux, plus une mezzanine. Ici l’escalier qui mène de la chambre des parents à l’étage. Relique familiale, le chandelier XVIIIe a été transformé en applique murale.
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Grande pièce de réception du rez-de-chaussée, où elle agence en permanence de nouvelles scénographies à partir d’une sélection de meubles et d’objets qu’elle édite. Aujourd’hui, le décor s’articule autour du canapé “Lowland” de Patricia Urquiola (2000). Au fond, à gauche, sont entreposées des toiles de son mari, Abdu Salam, et l’on aperçoit un bout du pouf “Dew” par Nendo (2009). Des tapis de la collection Carpet Reloaded par Golran pour Moroso (2010) habillent le sol en résine. À droite, posées sur le meuble, deux lampes “Rontonton” de Edward van Vliet (2008).
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Fondateur de l’agence de design Nendo, basée entre Tokyo et Milan, Oki Sato est nourri d’influences très diverses. De passage à Paris où deux galeries lui consacrent une exposition, il nous livre les clefs de son processus créatif.
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Le couple prend la pose devant une porte coulissante peinte par Abdu Salam où figure un grand oiseau noir stylisé sur fond vert. Palazzo Moroso: Patrizia Moroso, géniale éditrice de mobilier, a longtemps rêvé de cette maison, avant de trouver le terrain, dans sa ville natale d’Udine, et le maître d’ouvrage : Patricia Urquiola. Son amie signe ici sa première réalisation architecturale, une construction hors normes, toute en bois et métal rouge amarante.
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Patrizia organise ses rendez-vous de travail dans la grande pièce de réception du rez-de-chaussée, où elle agence en permanence de nouvelles scénographies à partir d’une sélection de meubles et d’objets qu’elle édite. Aujourd’hui, le décor s’articule autour du canapé “Lowland” de Patricia Urquiola (2000). Au fond, à gauche, sont entreposées des toiles de son mari, Abdu Salam, et l’on aperçoit un bout du pouf “Dew” par Nendo (2009). Des tapis de la collection Carpet Reloaded par Golran pour Moroso (2010) habillent le sol en résine. À droite, posées sur le meuble, deux lampes “Rontonton” de Edward van Vliet (2008).
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Dans cette immense maison, tout semble avoir été démultiplié, les assises, comme les tables. Devant la large baie vitrée, le canapé “Field” (2008) et deux tables basses “Phoenix” (2004) de Patricia Urquiola. À côté, le fauteuil “Binta armchair” d’inspiration africaine par Philippe Bestenheider (2009). Ameublement ou installation d’art ? Au premier plan, accumulation de tables basses “Fergana” (2009) et “Shanghai Tip” de Patricia Urquiola (2006), et de poufs “Kub” de Nendo (2009) et “Sushi collection Joy” de Edward van Vliet (2008). Le tapis de la collection Carpet Reloaded par Golran pour Moroso (2010) épouse le parquet en chêne aux lames sciées à la main.
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Le bois foncé de la façade fait écho au métal rouge utilisé pour le chemin d’accès, les huisseries et les volets extérieurs perforés. Autour, les arbres filtrent le soleil en un jeu d’ombres et de lumières qui adoucit les contours massifs du bâtiment. Les fenêtres sont équipées de vitres comportant un traitement de protection contre la chaleur.
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Patrizia Moroso l’appelle son “salon africain”, mais là encore le mélange de styles est la règle. Dans la fosse, l’espace est constitué de banquettes garnies de coussins de la collection Fergana, signés Patricia Urquiola (2009), comme la table basse “Shanghai Tip” (2006). Sur le mur, une oeuvre de Fathi Hassan, présentée lors de l’exposition “M’Afrique” en 2009, à Milan. Tapis de la collection Carpet Reloaded pour Moroso par Golran (2010). Devant la baie vitrée, lampe “Rontonton” de Edward van Vliet (2008).
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Vue du chemin menant à l’entrée, en métal strié rouge. Une véritable rampe d’accès qui facilite Le ballet incessant des meubles.
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Le rez-de-chaussée comprend un espace spa où les invités peuvent se détendre, entre une piscine en mosaïque noire et rose et un hammam donnant sur le parc.
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Dans la chambre des parents, la version capitonnée du fauteuil “Klara” de Patricia Urquiola (2010) d’esprit cinquante cohabite avec le dessus-de-lit confectionné dans un tissu ouzbek. Au sol, tapis “Carpet Reloaded” par Golran pour Moroso (2010). La photo en noir et blanc est d’Alessandro Paderni, un fidèle des catalogues Moroso.
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Composition originale, la salle de bains est une pièce à vivre très loin de l’esprit sanitaire : mosaïque en verre Mutina et grès cérame Royal Mosa. À côté de la baignoire “Kaos 2” de Kos, une autre version de la chaise “Klara” de Patricia Urquiola (2010). Robinetterie “Rapsel” d’Arne Jacobsen, Vola. En guise de repose-pieds, un siège en céramique “The Fool on The Hill” de Luca Nichetto et Massimo Gardone (2008).
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Palazzo Moroso: Patrizia Moroso, géniale éditrice de mobilier, a longtemps rêvé de cette maison, avant de trouver le terrain, dans sa ville natale d’Udine, et le maître d’ouvrage : Patricia Urquiola. Son amie signe ici sa première réalisation architecturale, une construction hors normes, toute en boiset métal rouge amarante.
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Le coin salle à manger, organisé autour d’une table de cantine récupérée dans une association et de chaises dépareillées : le cannage de deux d’entre elles a été remplacé par un tissage de lacets de coton. Devant la fenêtre, un bureau et des chaises d’école. La suspension et la lampe industrielles ont également été chinées.
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La maison est construite sur deux niveaux, plus une mezzanine. Ici l’escalier qui mène de la chambre des parents à l’étage. Relique familiale, le chandelier XVIIIe a été transformé en applique murale.
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Dans la cuisine, située au premier étage, les lampes de style industriel cohabitent avec lespastels XVIIIe sous verre. Les coussins fleuris(Caravane) banquettent face aux chaises de bistrot.
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La salle à manger, dans le prolongement de la cuisine, est baignée de lumière grâce à la verrière en surplomb.
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La cloison vitrée à huisserie métallique évoque un atelier. Au premier plan, un fauteuil en feuilles de bananier, baptisé “Doum-Doum”, offert par Véronique à François. Un casier à huîtres est détourné en panier à partitions. Au fond, un tabouret industriel. La cuisine a été entièrement réaménagée, avec un plan de travail en zinc. Au centre, trône la pièce maîtresse, la cuisinière Aga.
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La cloison vitrée à huisserie métallique évoque un atelier. Au premier plan, un fauteuil en feuilles de bananier, baptisé “Doum-Doum”, offert par Véronique à François. Un casier à huîtres est détourné en panier à partitions. Au fond, un tabouret industriel. La cuisine a été entièrement réaménagée, avec un plan de travail en zinc. Au centre, trône la pièce maîtresse, la cuisinière Aga.
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La fenêtre indique que la maison est née du rapprochement de deux appartements séparés. Un portrait de nonne chiné dans une brocante force le trait du mélange de genres et d’époques.
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Dans la chambre parentale du rez-de-chaussée objets détournés et mélange de styles : sur l’ancien meuble d’horloger à multiples tiroirs converti en table de chevet, une lampe en verre années 40 surmontée d’un abat-jour à imprimé léopard et une peinture orientaliste. Coussins et couvre-lit Caravane.
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Daniel Buren sous la coupole. Oeuvre au Grand Palais
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Portrait de Hubert le Gall, le plus fantaisiste
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Daniel Buren sous la coupole. Oeuvre au Grand Palais
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Daniel Buren sous la coupole. Oeuvre au Grand Palais.
“Photo-souvenir Daniel Buren” : esquisse graphique, entrée Excentrique(s), Monumenta, 2012.
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Portrait de Hubert le Gall, le plus fantaisiste