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N°469 - Mai-Juin 2014
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Londre et lumière
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Monuments Garden
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Dress code et déco
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Philippe Nacson, l'outsider
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Le O'Paris au sommet
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Pause hippie
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Vernissages et finissages
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Diamant sur canopée
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Un balcon à la Méditerranée
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Pour en savoir plus
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Une maison bien coiffée
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Pour en savoir plus
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Londres et la lumière
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Pour en savoir plus
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L'usine à rêves
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Délires de verre
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Jouy d'aujourd'hui
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6 salles de bains à vivre
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Des carreaux de la plus belle eau
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Lord Sandwich
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Milan c'est maintenant
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Ailleurs : Italie
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La table à repasser qu'on aime montrer
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Le chouchou de la chouchouka
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Haut les tiges !
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Recettes
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"Too late to help” (Trop tard pour secourir) fut d’abord installé en 2006 par l’artiste argentin Leandro Erlich dans un terrain vague inondé par l’ouragan Katrina. Transposé dans le jardin, son désespoir surréaliste évoque selon le plasticien “la perte mais aussi le sauvetage".
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En aluminium poli sur trois de ses côtés, la sculpture “Sans titre” de l’Anglo-Indien Anish Kapoor, acquise en 2011, fait figure de puits sans fond : aspiré par le vide, le regard tente la traversée du miroir.
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Élevée en 2012, “Karma”, la pyramide humaine en acier du Coréen Do-Ho Suh s’élance vers le ciel au-dessus des palmiers.
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L’envol lourd du “Barrier” (Big Bird) vers les guirlandes de mousse symbolise pour le Louisianais Fritz Bultman “l’aptitude de l’art à extirper ordre et visions du chaos”.
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Le pendu stoïque d’Alison Saar, “flottant entre deux mondes cruels au-dessus du lagon”, a emprunté son titre insolent à une chanson de Billie Holiday “Traveling Light” (voyager léger) et fait allusion à “la liberté recouvrée”.
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Pour le sculpteur espagnol Jaume Plensa, “Overflow 2005” parle de la condition de l’être humain, à la fois fort et fragile et, aujourd’hui, saturé d’informations.
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Un supplément d’âme : Un rouge Guittet ultra flashy, un papier peint Cole&Son plus classique, Tamara a écumé les brocantes de Bruxelles à Paris sans oublier le site du boncoin.fr, pour dénicher de beaux objets, comme ce miroir ou ces pièces de diaminos vintage.
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Bois de coffrage et velours capitonné : Qu’ils viennent dîner ou juste boire un café, les habitués se disputent cette banquette vintage et cette table basse en bois de coffrage où l’onpeut s’installer avec une des centaines de BD en libre accès.
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Oh, la belle ville ! : Installés sur des chaises en métal de toutes les couleurs à la terrasse ensoleillée du O’Paris, on profite d’une vue à 180 ° sur le parc de Belleville et la capitale.
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Royal au bar : Cola maison, infusion d’hibiscus, les spécialités s’affichent sur le mur en ardoise imaginé par Tamara Tung. En réunissant les deux pièces pour faciliter le service, l’atelier d’architecture NoMa a simplifié la circulation et positionné bar et cuisine face à la salle.
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Le mélange des couleurs : Ancienne styliste de mode et chineuse compulsive, la décoratrice Tamara Tung a gardé le goût des compositions audacieuses et des mélanges improbables. Dans ces deux petites alcôves, on découvre un mix de tableaux, de cadres vides et de photos. Peinture Guittet. Papier peint Cole&Son.
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Faire du neuf avec du vieux : Antoine, le propriétaire, voulait un endroit moderne mais connecté à son environnement, à la fois populaire, un poil bohème et de plus en plus touristique. Caisses en bois fixées aux murs, plateaux de table en bois de coffrage lasuré posés sur les piétements d’origine. Le mobilier trouvé sur place a en partie été réutilisé. Papier peint Cole&Son et chaises Friso Kramer.
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Des jeux à partager : Pour installer les dizaines de jeux de société mis à disposition des clients, Tamara Tung a recyclé de vieilles caisses en bois, qu’elle a également déclinées, sous d’autres formes, derrière le bar, pour ranger verres et bouteilles.
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Là-haut, dans le 20e. : Une vue panoramique sur la capitale, du bois de Vincennes au mont Valérien d’un côté, le parc de Belleville en contrebas, le week-end, le O’Paris fait le plein !
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Comme à la maison : Sous les suspensions “Westelm” et le miroir “Soleil” chiné, les dîners entre amis s’éternisent parfois tard dans la nuit.
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Des oiseaux en liberté : Les fameux “Birds” des designers du Minakani Lab ont pour la première fois été édités en négatif, blanc sur noir et s’envolent sur un mur entier du café.
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Paille, macramé, sieste et flower power : papier peint, capeline en paille, suspension en jonc de mer, hamac avec bords macramé, coussin plissé avec broderie, coussin textile, coussin laine et coton, lit en rotin, coussin en coton brodé ou imprimé, pouf déhoussable, table ronde pliante en bois et céramique, service à thé en céramique et plateau, panier en paille, tapis en jacinthe d'eau tressé à la main, corbeilles en paille, cabas en paille crochet et cuir, tabouret en bois de laurier et cuir blanc.
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Ou l’art d’épater la galerie à peu de frais.
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La maison cachée dans la verdure a été conçue dans un style radical par les architectes du cabinet Kruger Roos à Cape Town. Sortes de bow-windows ultramodernes placées en angles, les baies vitrées du salon et du bureau plongent directement sur les arbres centenaires du jardin.
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Graphique et coloré, le salon est un joyeux mélange : tapis à chevrons (Gonsenhausers Fine Rugs), canapé vert canard (Off ecct), coussins chamarrés (Sarah Ord Interiors), tabourets “Flower” dessinés par Eero Koivisto (Off ecct) pour une touche de flashy, et une grande statue africaine dénichée à la galerie Peter Visser. Le fauteuil vintage en cuir a été chiné aux puces.
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Dans l’entrée, un fauteuil en bois et cuir d’Hans Wegner (Carl Hansen & Son) trône devant un grand tableau de Russel Travers. Un tapis géométrique (Gonsenhausers Fine Rugs) et un tabouret du Ghana (African Image) complètent ce décor éclectique.
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La salle à manger s’ouvre sur la grande terrasse. Autour de la table réalisée sur mesure, des chaises “Wishbone” dessinées en 1950 par Hans Wegner. Suspension (Eddie Zoom) et vaisselle bleu canard (Sarah Ord Interiors).
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Les dernières saveurs du thé glacé aux fruits BOS, créé par Grant Rushmere, sont alignées sur les étagères. Autour de la table “Tulip” dessinée par Eero Saarinen en 1953, des chaises d’enfants chinées en salle des ventes. Au mur, une photo extraite d’un livre de Fred Benistant.
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Conçue comme une boîte de verre, la majestueuse chambre parentale plonge directement sur une jungle aux multiples tonalités de verts. Taies d’oreillers vertes (AM-PM) et couvre-lit en laine, (Country Road). Fauteuil en bois danois années 60.
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Dans le prolongement de leur chambre, une salle de bains très chic, avec pare-douche en verre sablé et baignoire tapissée de tadelakt.
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Comme une boîte en verre, la chambre des parents est ouverte de toute part sur la nature. Elle donne sur une terrasse ombragée par un grand chêne et tapissée de bois de Balau. Table et fauteuil suédois en teck.
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Dans le coin salon de la grande pièce à vivre, deux prototypes de chaises Eu/phoria dessinés par Paola Navone (Eumenes) sont entourés de fauteuils en osier peint en noir de Pierre Guariche. Entre les deux fenêtres, des poissons en céramique de Lejan sont posés sur un meuble de garagiste en tôle peinte des années 50. Tous les sols sont recouverts de carrelage en grès noir et blanc.
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On jouit d’une vue inoubliable sur le balcon-terrasse protégé par une balustrade en fonte du XIXe. Sur la table Napoléon III en métal entourée de deux chaises Tolix des années 30, une lanterne d’Émile Tessier en faïence de Malicorne.
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Le coin repas : une table savoyarde en bois brut et des chaises en métal des années 50, éclairées par une grande lampe industrielle, le tout chiné aux puces du cours Saleya, à Nice. Au fond, une collection de barbotines de Vallauris des années 50 est accrochée au mur au-dessus d’une chaise en aluminium de Pierre Guariche. Dans la coupelle, des fruits en verre de Murano des années 50.
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Sur la table basse chinée en Avignon et composée d’un plateau en tôle posée sur la base d’un wagonnet de mine, une collection de faïences tressées de multiples provenances. À côté du canapé “Ghost” XXL (Paola Navone pour Gervasoni), un tabouret campagnard chinois, une carcasse de chaise longue Napoléon III en fer forgé et un guéridon XIXe en métal sur lequel sont posées une lampe de mineur et une tête en céramique dans le style de Jean Cocteau. Au mur, au milieu d’une collection de miroirs en rotin, trois miroirs blancs dans le même esprit dessinés par Paola Navone.
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Dans la cuisine de cinq mètres de long dessinée par Paola Navone pour A&G Bontempi, tout est à portée de main. Elle est prolongée par un meuble en aluminium signé Piet Hein Eek. Évier en marbre, réfrigérateur Smeg, lampes industrielles vintage en fonte d’aluminium.
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Dans la salle de bains, au-dessus du lavabo, trois armoires de toilette en métal décapé des années 30 et une lampe industrielle en fonte d’alu.
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Dans l’entrée, un tableau à l’encre de Chine et fil rouge de Laure Mathieu est posé à même le sol. Au premier plan, un tabouret de Mathieu Matégot sert de sellette à une céramique de Vallauris signée Louis Giraud. Au fond, on aperçoit le couloir et un banc de Piet Hein Eek.