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N°467 - Février-Mars 2014
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Documents par page :
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Marie Claire Maison Couverture
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Mamie Cocotte, un restaurant d’entreprise beau et bon
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Un grain de fantaisie
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Complètement perchées
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Pour gagner de la place, on peut tout fixer au mur. Même des tables et des bureaux qui tiennent debout sur deux jambes ou aucune.
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Cuisine sur cour
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Dans la cuisine, les suspensions-cloches sont les meilleures lorsqu’elles se mettent à plusieurs pour éclairer le plan de travail de leur faisceau direct.
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Un loft à la verticale
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Quatre baignoires aux lignes impeccables à adopter lorsqu’on a décidé de traiter sa salle de bains comme un salon.
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La fantaisie repousse les murs
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Zoom sur un zoo pas comme les autres imaginé par des designers pour qui les animaux sont des bêtes de déco.
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La couleur au pluriel
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Les motifs géométriques de ces papiers peints sont si spectaculaires qu’un seul panneau suffit à réveiller l’atmosphère.
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Au coin du bois
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C’est une question de proportions : dans un espace réduit, ces petites tables basses font le même effet que les grandes.
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En deux tons, trois mouvements
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Le jaune allume le gris, le gris calme le jaune… Pour leur belle harmonie, ces deux couleurs ont été élues nouveau duo de la déco.
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Étoffes, le style 2014
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Spécial chambres, les étoiles de la nuit
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Bleu comme Delft
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Mélodie en sol peint
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Plats uniques
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Plaidoyer pour l’avocat
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Istanbul, à contre-courant
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Des objets et des idées qui rendent la vie plus facile.
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Une marmite à grand spectacle
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Bruyère en l’air
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Bon goût: Plaidoyer pour l’avocat
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Un loft au menu. C’est l’architecte Jean-Jacques Ory qui a construit en plein coeur du parc d’aff aires “Carré 92” à Gennevilliers ce bâtiment éco-conçu sur 1 200 m2 et décoré par la styliste Amélie Baudin. À l’intérieur, ambiance vintage avec un papier peint bibliothèque“The Collection”. Un soin particulier a été apporté à la lumière, grâce à une multitude de suspensions au design industriel, minimaliste, vintage ou plus poétique comme cette cage à oiseaux de Mathieu Challières, Fleux’.
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À la table du design. Sur des chaises Tolix en acier brut, des intemporels “DSW” de CharlesEames (Vitra), des chaises Fermob ou encore des chaises d’écolier chinées aux puces, on s’attable autour de petites tables rondes ou de grandes tables d’hôtes rectangulaires dans l’espace ouvert. Papier peint The Collection, suspensions Foscarini.
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Blanquette vanille ou burgers maison ? Chez Mamie Cocotte, le sens du détail est aussi important que le contenu de l’assiette, fraîche et composée d’ingrédients soigneusement sélectionnés. Comme au bistrot du quartier, la suggestion du jour est écrite à la craie sur le tableau noir. De vieilles caisses en bois reconverties en étagères ajoutent du cachet au lieu.
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Un déjeuner solidaire. “Vapeur”, “cocotte”, “salades”, “grillades”, “desserts” : selon la volonté des jeunes fondateurs, on trouve au service de ces cinq espaces thématiques de “L’Atelier”, uniquement des femmes de plus de cinquante ans habitant toutes la commune de Gennevilliers.
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Une cantine étoilée ! En cuisine de cette Mamie Cocotte, c’est en réalité Philippe Deschamps, un ancien chef du Carré des Feuillants et du ministère de l’Agriculture qui offi cie. Ses deux mots d’ordre : “qualité et convivialité”.
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Version cool. L’été, “l’Atelier plage” s’enrichit d’un espace “rôtisserie et barbecue” pour une pause déjeuner estivale sur une terrasse de 400 m2. Fauteuils d’extérieur en plastique “Rio”, Maisons du Monde.
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Comme à la maison. Sur le carrelage mural en faïence “Métro”, la styliste Amélie Baudin a opté pour un égouttoir en ferblanterie, création Tsé & Tsé, où l’on range quelques assiettes et verres uniquement pour le décor ! Les îlots de cuisine sobres et chics, habillés de zinc noir,sont dans l’esprit des lieux.
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Le couvert est mis. Pour créer une ambiance très diff érente des restaurants d’entreprise traditionnels, Amélie Baudin a misé sur quelques idées fortes, comme ce papier peint au décor vieilli (Arte) ou ces stickers de couverts géants (The Collection). L’accumulation en bouquet de suspensions lumineuses en papier (Habitat) rythme l’espace.
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Ouverte à tous. De beaux volumes et une circulation fluide : ici la pause déjeuner s’accompagne d’une ambiance musicale imaginée avec soin par Stéphanie et Laurent. Si Mamie Cocotte peut se privatiser pour des événements, les clients extérieurs sont également les bienvenus pour un déjeuner (entrée, plat, dessert) à 10 €. Papier peint The Collection.
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Mamie décore. Customisé, le meuble vintage de tri postal repeint en jaune flamboyant est utilisé comme desserte à couverts.
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Un grain de fantaisie. Qu’il bruine ou qu’il grêle, le gris s’enfuit lorsqu’on ouvre ces parapluies pleins d’humour.
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Dans le salon, l’immense canapé est confectionné avec deux banquettes en lin écru, La Redoute, qui font aussi office de lits d’appoint. Coussins, AM-PM, Lindell&co et Ferm Living. Tapis, Fly. Table basse, Lalinde et fauteuil “Acapulco”, Sentou, coupelles de Tom Dixon chez Home Autour du Monde. Applique, AM-PM. Rideaux réalisés sur mesure par Création Mourra.
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Dans la cuisine lumineuse, éléments laqués noirs, Ikea. Vaisselle, plats laqués et suspension en papier, Monoprix. Table et banc chinés puis repeints. Coussin en velours, Caravane Chambre 19. Applique, Gras (DCW).
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Dans le salon, les architectes ont aménagé un coin bureau. Chaise, Fly et bureau, La Redoute.
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Complètement perchées
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Les architectes de l’agence Double G ont fait couler un sol en béton ciré dans la cuisine. Pour le salon et la chambre, elles ont opté pour un beau parquet en chêne vieilli. Table chinée et peinte. Chaises en métal noir, Nicolle. Carafe et tasses en céramique Bel Art, Les Affaires étrangères à Uzès. La cuisine a été conçue avec les éléments laqués noirs “Abstrakt”, Ikea.
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Au mur de la chambre, papier peint, Elitis. Suspension, Muuto. Draps en lin, AM-PM et coussins en velours, Caravane Chambre 19. Rideaux confectionnés sur mesure par Création Mourra.
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Pour gagner de la place, on peut tout fixer au mur. Même des tables et des bureaux qui tiennent debout sur deux jambes ou aucune.
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Entièrement habillée de bois peint en gris en façade, la maison est baignée de lumière. Dans la cuisine qui s’ouvre directement sur la cour verdoyante, table dessinée sur mesure par ManuelBonnemazou et Agnès Cambus de l’agence Element-s. Chaises en métal laqué Sentou. Vaisselle en métal émaillé Stefania di Petrillo chez Merci.
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Sobre et chic dans ses tons de bleu pastel, c’est autour de la cuisine que tout s’articule. Les architectes ont conçu un plan de travail en Corian et des éléments en MDF laqué mat, sur toute la longueur pour faciliter la circulation. La belle hauteur sous plafond a permis d’accrocher trois suspensions de Muuto. Sol en carreaux de ciment Emery. Chaises en métal laqué Sentou. Saladiers Monoprix. À l’entresol, la chambre est teintée de bleu vif. Houssede couette en lin AM-PM.
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Peint en bleu roi, le salon est haut en couleur. Sur le canapé, drap ancien et coussins enchanvre teinté fuchsia Longmétrage. Coussins à motifs gris et en peau d’agneau du Tibet,théière et mug, Home autour du Monde. Tables en bois laqué rose, tapis et poufs en tricot, Fly. Fauteuil noir et blanc AM-PM. Lampe “Vapeur” d’Inga Sempé pour Moustache. L’escalier mène à la bibliothèque aménagée sous le toit.
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Dans la cuisine, les suspensions-cloches sont les meilleures lorsqu’elles se mettent à plusieurs pour éclairer le plan de travail de leur faisceau direct.
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Posée sur des poteaux métalliques, la salle de bains, sorte de “boîte-vitrine”, s’ouvre sur le salon par une fenêtre horizontale. Bouteilles d’eau de Cologne (Astier de Villatte). En dessous, la cuisine-salle à manger au plafond de stuc ferré blanc brillant est séparée de l’entrée par une paroi vitrée teintée de violet (Brugnon Miroiterie). De l’autre côté, elle est longée par l’escalier en béton ciré auquel font écho les plans de travail. Chaises “Tulipe” d’Eero Saarinen (Knoll). Fauteuil “Bird” en fil d’acier d’Harry Bertoia (Knoll, 1952, chez Merci), coussin de coton gris (Caravane Chambre 19). Au fond, comme un tableau. un marbre tâché de gris et de noir “Fleur de pêcher” (Marbreries de la Seine) habille la crédence.
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Un loft à la verticale
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Inspirée des astres circumpolaires, la poétique fresque murale de Françoise Doléac en tôles d’inox poli découpées au laser reflète la pièce en pointillés, tandis qu’un lustre spectaculaire en verre de Murano chiné aux Puces s’impose sous la verrière et qu’une peinture travaillée à la nacre broyée, habille le mur de droite. Sur la banquette en béton ciré recouverte d’une galette en lin gris (Ido Diff udion), des coussins rectangulaires en chanvre (Long Métrage) et d’autres coussins (Caravane Chambre 19). Sur la table basse d’Eero Saarinen (Knoll), des bols ouzbeks (Liwan) et une théière “Benoît” (Astier de Villatte). Fauteuil Bertoia vintage et tabourets de ferme chinois du XIXe (Merci). Sur le plancher en chêne (Autrement les sols), un tapis turc ancien reteint (Caravane).
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Dans la chambre capitonnée de cuir crème (Moore & Gilles chez Ido Diffusion), un lit clos pardes parois coulissantes en cuir marron glacé (Moore & Gilles chez Ido Diffusion). Drap, coussins et courtepointe en lin et chanvre teint (Long métrage). Moquette de soie (LimitedEdition), lampe “Cocoon” de Paola Navone et petite table en lutindzi, une herbe séchée peinte (les 2, Caravane Chambre 19).
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La bibliothèque et son échelle aérienne soulignent la hauteur du lieu (céramiques de Joe Christopherson (Merci), masque Punu du Gabon, sculptures et petit tableau d’Alice Puech,repose-têtes indochinois XIXe, insecte naturalisé (Deyrolle), objets africains (Galerie MaineDurieu) et statuette en pierre maya du Costa Rica).
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La salle de bains est “minérale” : le sol en grandes dalles de travertin d’1 m 60 sur 1 mètre,remonte sous le plan en iroko, sur lequel est posée une vasque en Corian, comme la baignoire(Cascade). Le plafond du même bois, évoque celui d’un bateau. Également en iroko massif,l’armoire à pharmacie aux portes en miroir, réalisée sur mesure comme la plupart des éléments de la maison. Tabouret “Butterfly” de Sori Yanagi, 1954 (Vitra à la Galerie Sentou).Serviette et drap de bain (Emporium), tapis en PVC (Caravane Chambre 19).
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Quatre baignoires aux lignes impeccables à adopter lorsqu’on a décidé de traiter sa salle de bains comme un salon.
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Le bow-window offre au salon plus de clarté et permet d’utiliser son large rebord comme uneétagère. De gauche à droite : vase vintage Iittala, grand bol émaillé Kaj Franck, oiseau en boisd’érable des frères Bouroullec (Vitra), oiseau laqué noir en aulne, Eames (Vitra), set d’objets en bois peint “Helsinki made of wood” de Laura Vainola. Laura est assise dans un fauteuil “AA”vintage.
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La fantaisie repousse les murs, Au-dessus du piano, un hippopotame en papier mâché chiné aux Puces.
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Alors que les autres pièces sont assez épurées, Laura et Pekka ont volontairement “chargé” le salon en y exposant leurs oeuvres préférées. Le vieux poêle en faïence contraste avec la modernité du mobilier. Pour la table basse, Laura a juxtaposé plusieurs casiers, laissant un vide central, duquel surgit un palmier. Paire de canapés blancs des années 1960, Yrjo Kukkapuro, coussin en coton rayé noir et blanc (tissu Marimekko). À gauche, paire de petits chandeliers Kubus 4 en acier laqué par Lassen Mogens.