Dans le salon, “The Poet”, un canapé une place et demie pour rêver (1941) tourne le dos à un grand portrait de femme de Vilhelm Lundstrøm (1946). Une partie du sol, recouverte de brique orangée brute, comme un tapis, crée avec le plancher un rythme graphique et doux.

Creusées en escalier dans la falaise calcaire, les excavations naturelles de Matera ont servi de refuge aux hommes dès le paléolithique. Devenu insalubre, puis abandonné, cet habitat spectaculaire est à présent une destination prisée des amateurs de décor exceptionnel.

La maison de l'architecte danois Finn Juhl, dont on fête le centenaire cette année. Sa maison, qu’il a construite et aménagée au nord de Copenhague, est un exemple de sérénité, de bien vivre et de modernité.

Mode, déco, art, design, édition, rien n’arrête Serge Bensimon dans sa soif de création, de découvertes et de rencontres autour du monde. Son appartement parisien raconte sa personnalité sans frontières.

Creusées en escalier dans la falaise calcaire, les excavations naturelles de Matera ont servi de refuge aux hommes dès le paléolithique. Devenu insalubre, puis abandonné, cet habitat spectaculaire est à présent une destination prisée des amateurs de décor exceptionnel.

À une heure de Bari, le village de Matera offre un étonnant paysage de grottes naturelles à flanc de falaise. Le quartier troglodytique des Sassi s’apprécie le temps d’un séjour au Sextantio Le Grotte della Civita, qui sublime la beauté brute de ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco.

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À une heure de Bari, le village de Matera offre un étonnant paysage de grottes naturelles à flanc de falaise. Le quartier troglodytique des Sassi s’apprécie le temps d’un séjour au Sextantio Le Grotte della Civita, qui sublime la beauté brute de ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco.

À une heure de Bari, le village de Matera offre un étonnant paysage de grottes naturelles à flanc de falaise. Le quartier troglodytique des Sassi s’apprécie le temps d’un séjour au Sextantio Le Grotte della Civita, qui sublime la beauté brute de ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco.

À une heure de Bari, le village de Matera offre un étonnant paysage de grottes naturelles à flanc de falaise. Le quartier troglodytique des Sassi s’apprécie le temps d’un séjour au Sextantio Le Grotte della Civita, qui sublime la beauté brute de ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco.

“ASAFUMI YAMASHITA, MARAÎCHER TROIS ÉTOILES”, ÉD. LA MARTINIÈRE. FERME-RESTAURANT ASAFUMI YAMASHITA, CHEMIN DES TROIS-POIRIERS, 78130 CHAPET, TÉL. : 01 30 91 98 75.

À une heure de Bari, le village de Matera offre un étonnant paysage de grottes naturelles à flanc de falaise. Le quartier troglodytique des Sassi s’apprécie le temps d’un séjour au Sextantio Le Grotte della Civita, qui sublime la beauté brute de ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco.

Designer et graphiste, Shinichiro Ogata a modernisé la pâtisserie japonaise, et ouvert deux salons de thé à Tokyo. Avant d’y créer son restaurant, Yakumosaryo, sanctuaire d’une tradition culinaire revisitée.

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Designer et graphiste, Shinichiro Ogata a modernisé la pâtisserie japonaise, et ouvert deux salons de thé à Tokyo. Avant d’y créer son restaurant, Yakumosaryo, sanctuaire d’une tradition culinaire revisitée.

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Designer et graphiste, Shinichiro Ogata a modernisé la pâtisserie japonaise, et ouvert deux salons de thé à Tokyo. Avant d’y créer son restaurant, Yakumosaryo, sanctuaire d’une tradition culinaire revisitée.

Designer et graphiste, Shinichiro Ogata a modernisé la pâtisserie japonaise, et ouvert deux salons de thé à Tokyo. Avant d’y créer son restaurant, Yakumosaryo, sanctuaire d’une tradition culinaire revisitée.

Designer et graphiste, Shinichiro Ogata a modernisé la pâtisserie japonaise, et ouvert deux salons de thé à Tokyo. Avant d’y créer son restaurant, Yakumosaryo, sanctuaire d’une tradition culinaire revisitée.

Designer et graphiste, Shinichiro Ogata a modernisé la pâtisserie japonaise, et ouvert deux salons de thé à Tokyo. Avant d’y créer son restaurant, Yakumosaryo, sanctuaire d’une tradition culinaire revisitée.

La maison de l'architecte danois Finn Juhl, dont on fête le centenaire cette année. Sa maison, qu’il a construite et aménagée au nord de Copenhague, est un exemple de sérénité, de bien vivre et de modernité.

Dans le salon, “The Poet”, un canapé une place et demie pour rêver (1941) tourne le dos à un grand portrait de femme de Vilhelm Lundstrøm (1946). Une partie du sol, recouverte de brique orangée brute, comme un tapis, crée avec le plancher un rythme graphique et doux.

Au fond du salon, table “Drawing Board” (1950), pour travailler seul ou en équipe. Devant, “Chair” et son ottoman (1953), à côté d’une grande statue de marbre. Au premier plan, en cuir orange audacieux pour l’époque, la célèbre “Chieftain Chair” (1949), inspirée par des statuettes guerrières avec lance et bouclier. Au fond à gauche, deux fauteuils “FJ45” (1945). Au mur, un tableau de Jean Deyrolle (Thona, 1952) à gauche et, à droite, un tableau de Richard Mortensen (Opus 5, nà. 4. Gamla Staden, 1948). Le mur est couvert d’un rayonnage mural “Bookcase” (1942), simple et efficace.

Dans la salle à manger, autour de la table ovale “Judas Table” (1949), une série d’“Egyptian Chair” (1949), recouvertes d’un tissu vert lumineux qui fait écho, avec le jaune orangé du plafond, à l’harmonie de couleurs des deux tableaux, d’Asger Jorn (Syttakromba, 1940)à gauche et de Richard Mortensen (Nattergalen, 1944)à droite. Suspension “Stilling” d’Arne Jacobsen.

Dans la chambre du maître, pour les longues soirées d’hiver, une cheminée suspendue, comme une gueule noire qui troue le mur blanc. Son linteau minimaliste et élégant souligne d’un large trait les fl ammèches cubistes du tableau de Jean Deyrolle (Andéol, 1956). À droite, l’élégante “Chair” (1945).

Finn Juhl a dessiné son lit “Bed” (1961) comme un tableau, avec deux bandes de couleurs apaisantes, bleu et vert. Il a aussi dessiné la lampe de chevet qui fait partie d’une série crééeen 1963 pour la compagnie danoise Lyfa.

Tables de chevets avant-gardistes: Nomades avant l’heure, pratiques et colorés, les “Chest of Drawers” (1961), déclinés en camaïeux de couleurs chaudes et froides, ont contribué à la réputation de l’architecte danois. Cet amateur d’histoire de l’art a été l’un des premiers à considérer la couleur comme un élément architectural à part entière.

Mode, déco, art, design, édition, rien n’arrête Serge Bensimon dans sa soif de création, de découvertes et de rencontres autour du monde. Son appartement parisien raconte sa personnalité sans frontières.