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N°453-Mai-Juin 2012
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Une cabane dans la pinède
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Une galerie creusée dans le roc et modelée pour lui donner l'aspect d'une grotte naturelle s'ouvre sur un chemin du parc
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Des conduits comme des sculptures. Ils encadrent l’entrée de l’ancienne chauff erie du sous-sol, transformée en galerie d’art. Jusqu’au 13 mai, on peut y voir “Moving Walls”, une installation cinématographique du réalisateur polonais Lech Majewski.
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Daniel Buren sous la coupole. Oeuvre au Grand Palais
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Susie MacMurray a installé cette composition sur une porte de la bibliothèque et l’a nommée“Herd” (“troupeau”), en référence aux cerfs qui errent depuis toujours autour de la propriété.Ramassés à Attingham pendant les périodes de mues et d’abattage obligatoire qui faisait fuirle huitième Lord Berwick très attaché à ses bêtes, des bois et des ramures émergent d’un fond de velours cramoisi.
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Portrait de Hubert le Gall, le plus fantaisiste
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ACCORDS parfaits. Le bois est le meilleur des compagnons : il s’entend bien avec les autres matières et n’oublie jamais de les mettre en valeur.
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DES CHAISES très classe. Leurs lignes attestent que les souvenirs d’école génèrent parfois de formidables pièces de design.
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Bardée de lattes en Douglas peint dans des tons d’ivoire et de gris, la maison éclairée pardes suspensions industrielles a gardé son style ferret-capin. On s’installe sur des fauteuilsjaunes en fil de plastique pour prendre le soleil (“Acapulco”, Sentou Édition).
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Avec les fils en plastique, on tisse des sièges ultragraphiques qui restent dehors tout l’été sans s’abîmer.
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Dans la salle à manger, l’architecte a conservé la fenêtre d’origine qui communique désormais avec la cuisine et sert de passe-plat. Table en bois brut chinée à Copenhague entourée de chaises vintage “DSR” de Charles et Ray Eames aux diff érentes teintes de blancs. Lampe “Random Light” de Bertjan Pot (Moooi).
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Des tabourets en bois contemporains inspirés des traditionnels trépieds des vachers.
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Une pièce vitrée comme une véranda, passage entre le salon et la cuisine, relie les deux parties du bâtiment rectangulaire.
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Savoir se détendre est un art où chacun peut exceller grâce à ces chaises longues d’intérieur qui invitent au repos.
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Carouschka a décidé l’emplacement de chacune des fenêtres. Dans le salon, les hublots laissent apercevoir les bateaux au loin. La table basse et le tapis sont des créations de l’artiste.
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Si ces appliques ont le bras aussi long, c’est pour orienter la lumière avec élégance et précision.
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Derrière une commode (Ikea), on découvre un très long claustra de lames de chêne massifqui semble porter la mezzanine et fi ltrer l’accès à l’espace cuisine. En bas, de gauche à droite, fauteuil Bokja, design Hoda Baroudi et Maria Hibri, tabourets empilés et plateau en forme de nuage d’Alvar Aalto (le tout chez Merci). Lampe “Eclipse” de Maurizio Klablin, Objekto (galerie Sentou), chaise en tricot rouge “Granny Chair” des wa.de.be designers (Home autour du monde). Le plancher est également en chêne massif.
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Faut-il se priver de confort et de couleurs lorsqu’on manque de place ? Chauffeuses et petits canapés démontrent le contraire.
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Perles de vert. Sur un voile de lin imprimé “Jerada”, Missoni Home par Lelièvre, une coupelle en verre souffl é perlé, coloris pomme, diamètre 15 cm, Iittala à la Boutique Danoise.
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Le grand et le petit. Meuble de rangement hybride composé de deux modules de tailles et d’essences de bois différentes, simplement unis par deux vis papillon : “Petit Jean”, en contreplaqué laqué, et ”Grand Jean”, en frêne. Autres coloris possibles. Chevet “Jean-Jean”, design Numéro 111 (collectif de designers français). Lampe à poser “Fold”, design Alexander Tayler, Established and Sons au Bon Marché. Carnets agendas, Moleskine. Micro trophée en carton, Fleux’. Lampe et lit miniatures, Pain d’épices.PAPIER PEINT “MULTICHECK BLUE”, ROOM SEVEN, AU FIL DES COULEURS.
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Déco new look: Tissus, carrelages, peintures et papiers peints… Impossible de résister à la collection de printemps quand le prêt-à-poser est aussi chic et coloré.
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Dans son restaurant Kunitoraya, le chef Masafumi Nomoto excelle dans l’art d’accommoder les udons, ces pâtes traditionnelles qui, sous sa baguette, composent une grande cuisine japonaise.
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Le “Getty Center”, musée phare de la ville posé sur les collines de Brentwood, dont la monumentale architecture de Richard Meier domine les plages du Pacifi que, de Santa Monica à Malibu.
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Le best of des meubles d’extérieur. Des piscines qui font rêver Et toutes les nouveautés du jardin
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Parce que leur look en fait des objets design à part entière, on vote pour ces nouveaux interrupteurs déclinés en cinq versions (frêne tourné, fonte d’aluminium finition noire ou brossée, verre pressé, béton coulé) et fabriqués artisanalement. Design Frédéric Bugnol pour Réalitem au BHV.
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UNE FLEUR À VAPEUR. Avec sa corolle flexible qui se plie à toutes les casseroles et se recroqueville pour mieux se ranger, la célèbre marguerite est encore plus pratique dans sa version plastique.
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A votre service. Présenter les gâ^êaux, c'est leur boulot. Et ces serviteurs le font avec brio. Mi-plateaux, mi-coupes, les serviteurs repassent à table
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La fougère en lumière. Grâce à cette gloriette miniature qui s’éclaire la nuit, tous les capillaires sont verts.
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Une cabane dans la pinède
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Une galerie creusée dans le roc et modelée pour lui donner l'aspect d'une grotte naturelle s'ouvre sur un chemin du parc
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Tête de lion installée au XVIIIe siècle par Simone Cantoni, l’architecte néo-classique qui adapta la villa Pizzo et son parc à la falaise.
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Au coeur des convulsions volcaniques des roches, sentiers, tunnels, terrasses et escaliers se superposent et se croisent.
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Au coeur des convulsions volcaniques des roches, sentiers, tunnels, terrasses et escaliers se superposent et se croisent.
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Surmontée d’un belvédère à l’élégante rambarde, la végétation cascade sur les parois aménagées de la falaise.
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Les branchages des ifs soigneusement taillés se courbent harmonieusement sur un chemin tracé au-dessus du lac, jusqu’à en effl eurer les flots.
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Une arche surréaliste, entièrement murée de pierres grises taillées, est adoucie par le liseron grimpant.
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Des conduits comme des sculptures. Ils encadrent l’entrée de l’ancienne chauff erie du sous-sol, transformée en galerie d’art. Jusqu’au 13 mai, on peut y voir “Moving Walls”, une installation cinématographique du réalisateur polonais Lech Majewski.
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Une vaisselle de brasserie. Assiettes blanches et serviettes en coton pour servir aux immenses tablées du haddock aux artichauts, du pigeon sauvage et des croustillantes cuisses de canard.
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Le restaurant dans la salle des turbines. Ce sont les architectes anglais Shed 54 qui, à la demande de Jules Wright, ont redonné vie au décor impressionnant de la centrale, en créant une harmonie totale entre le mobilier signé des pointures du design et les matières et couleurs d’un passé préservé.
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Technique et confort. Des bouillottes sont mises à disposition pour que l’on puisse seréchauff er en regardant une vidéo sur un écran coincé entre deux bielles. Chaise “Red LCD”(Lounge Chair Wood 1945) de Charles et Ray Eames (Vitra).
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Des coins intimes dans un volume immense. Les machines, magnifi ques vestiges industriels, délimitent des espaces où l’on peut s’isoler pour travailler en paix. L’ambiance devient poétique le soir quand les bougies s’allument de toute part.
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Une verrière industrielle typiquement anglaise. Pilar offi cie derrière un comptoir-bar en ardoise qui laisse apparaître l’envers du décor de ce lieu inondé d’une lumière singulière. Undiscret néon rose court le long du mur de briques peintes.
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Comme une cathédrale de briques Situé à Tower Hill, près des docks St. Katharine, le bâtiment a été parfaitement réhabilité.
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Les couleurs mises en valeur. Contre la porte de la salle des machines, le rouge vif de la “Lounge Chair LCD” de Charles et Ray Eames (Vitra) contraste en beauté avec les verts et les gris industriels
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Une librairie dans une serre. On s’y installe pour consulter livres et revues, l’hiver près d’un poêle à bois, l’été dehors, à ciel ouvert.
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Daniel Buren sous la coupole. Oeuvre au Grand Palais
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Daniel Buren sous la coupole. Oeuvre au Grand Palais.
“Photo-souvenir Daniel Buren” : esquisse graphique, entrée Excentrique(s), Monumenta, 2012.
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Susie MacMurray a installé cette composition sur une porte de la bibliothèque et l’a nommée“Herd” (“troupeau”), en référence aux cerfs qui errent depuis toujours autour de la propriété.Ramassés à Attingham pendant les périodes de mues et d’abattage obligatoire qui faisait fuirle huitième Lord Berwick très attaché à ses bêtes, des bois et des ramures émergent d’un fond de velours cramoisi.
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Le manoir de la fin de l’époque géorgienne, construit en 1785 par le premier lord Berwick.
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Au centre du grand vestibule de l’étage, un étrange animal hybride est tapi dans une vitrine : “Vex” (Vexation), de Kate MccGwire, un serpent à plumes de pigeons, dont le gris rappelle les nuances des murs et du sol.
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“Swan”, une sculpture en poussière de marbre de Daphné Wright, exposée dans le parc entre le manoir et la rivière Sterne où un couple de cygne a élu domicile depuis de nombreuses années.
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Pour son “Chandelier”, Nina Saunders a posé des oiseaux empaillés sur le lustre à pampilles du petit salon en rotonde qui évoque une cage dorée.
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Dans l’immense cuisine, une forme étonnante sort d’une casserole, tel le lait qui bout et déborde. Pour “Evacuate”, Kate MccGwire a assemblé des milliers de plumes de faisans, grives, gélinottes et autre gibier tués, plumés et cuisinés dans ce manoir.
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L’artiste Polly Morgan a utilisé la taxidermie de manière inattendue : “One for sorrow”, mots que l’on dit en Angleterre quand on croise une pie, perçue comme un mauvais présage, est une évocation de l’accident de voiture de la huitième Lady Berwick, annoncé par téléphone.
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Portrait de Hubert le Gall, le plus fantaisiste
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Portrait de Xavier Dohr, le plus discret
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Portrait de Hervé Van der Straeten, le plus inflexible
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Portrait de Jean-Louis Deniot, le plus flamboyant