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N°455-Septembre 2012
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155 documents trouvés
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Couverture : La couleur superstar
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Dans le Haut-Adige, le Tyrol italien, Arte Sella réunit des oeuvres d’artistes du monde entier au long d’un sentier qui grimpe à flanc de montagne, à travers un paysage envoûtant de futaies et de clairières.
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Shopping : page jaune
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En abandonnant les fleurs pour se consacrer aux figures géométriques, ces étonnants mélanges gagnent en modernité.
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Des milliers d’objets d’usage exposés dans des vitrines comme des trésors : le Museum der Dinge de Berlin raconte de manière inédite soixante ans de design domestique.
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À deux pas des gratte-ciel, sur une plage du golfe Persique, une villa au luxe ostentatoire est devenue une sympathique maison de famille pour des expatriés français.
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Unis aux tons sourds et imprimés joliment passés dessinent des patchworks qui mettent la modernité sur le tapis.
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Brocanteurs depuis plus de 20 ans à Ars-en-Ré, Françoise et Serge Madec se sont inspirés de leurs nombreux séjours à New York pour réinventer leur maison traditionnelle de Loix.
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En faisant passer le verre par tous les verts, vases, bouteilles et flacons se prêtent aux collections.
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Bien que situé au rez-de-chaussée, l’appartement de l’architecte d’intérieur Sylvie Blanchet bénéficie d’une vue exceptionnelle sur les Invalides. De vastes volumes baignés de lumière et de très belles pièces de design accentuent sa personnalité hors du commun.
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On se trouve encore plus beau dans ces miroirs originaux qui reflètent la diversité des styles dont on a envie aujourd’hui.
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À l’intérieur de la “Locanda al Colle”, une maison d’hôte installée dans un monastère du XVIIIe siècle, on s’attendrait à trouver un décor traditionnel. La surprise est totale.
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Variations fantaisistes sur les fauteuils dans le style des années 50 qui continuent à nous inspirer.
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Romy et Ilya, elle scandinave, lui russe, créent des maisons en carton pour les enfants. Leur appartement reflète leur goût de la légèreté et des objets, souvent disparates, mais toujours pleins de charme et de poésie.
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Rien n’échappe à la vague cuivrée qui fait vibrer la maison de sa lumière irisée.
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Au coeur de son agence Reality lab, Issey Miyake travaille aujourd’hui sur les matières régénérées. Il s’est associé à Artemide pour développer une collection de lampes livrées à plat, dont les formes géométriques se déploient dans l’espace sans l’ajout d’aucun châssis. Ces lampions magiques fabriqués à partir d’une fibre
textile issue de matériaux recyclés reprennent les principes du pliage chers à Miyake, décuplé ici par la mise en oeuvre de formules mathématiques complexes portant sur la tri-dimensionnalité. Cette série de lampes de tables et de suspensions renouvelle ainsi la tradition japonaise des sculptures lumineuses qui
inspira Isamu Noguchi dans les années 50, dans un incessant va-et-vient entre les techniques ancestrales et la modernité, la technologie et la grâce.
Lampe de la collection “IN-EI”, collaboration entre Issey Miyake et Artemide. H. 43 x L. 26 cm.
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Il suffit de quelques coups de pinceau pour que ces demi-teintes mates et poudrées aussi délicates que du maquillage donnent bonne mine à la maison.
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Créateur de mode et designer, Maurizio Galante est aussi fin gourmet. Au Foro Appio, l'hôtel de sa famille près de Rome, il met avec brio la main à la pâte.
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Profiter du meilleur de la cité, mais se croire à la campagne : un rêve de citadins que les Portlandais vivent au quotidien. Métropole écolo, mais aussi pépinière d’idées et de talents, la perle de l’Oregon est le nouvel eldorado américain
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Un fouet ludique pour la pâtisserie.
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Pâte fine et croustillante pour les pizzas et les tartes dorées sur cette pierre de cuisson en céramique émaillée qui passe directement du four à la table.
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Les racines se multiplient sans s’emmêler dans ce pot perforé en plastique recyclé. Du coup, le rosier est en pleine santé.
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Les trois fenêtres alignées côte à côte évoquent les verrières d’un bow-window. On s’y assoit sur une banquette faite d’une planche de bois, d’un fi n matelas et de coussins recouverts de tissus chinés. Tabouret australien (Zaishu), suspension en cuivre de Tom Dixon, meuble-vitrine chiné à Amsterdam. Une deuxième
suspension signée Cathrine Kulberg éclaire une table ronde rapportée de Montpellier, comme le poêle Godin.
La chaise “Zigzag” de Gerrit T. Rietveld contraste avec les chaises de style Louis-Philippe.
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François Lelong, “Le Soleil”, France, 2008. Sur chaque tronçon de pin douglas écorcé, l’artiste a conservé une branche avant d’assembler le tout pour former une roue qui évoque la trajectoire du soleil.
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Jaako Pernu, “Entonnoir de luxe”, Finlande, 2008. C’est en se remémorant la forme de l’entonnoir qui servait à embouteiller le lait dans la maison de son enfance que le sculpteur fi nlandais a composé cet assemblage virtuose de fines branches de saule.
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Patrick Dougherty, “Vous êtes libres”, États-Unis, 2011. Un dépliant touristique sur la tour de Pise a été à la base de ces “tours en arbres” constituées d’un tissage de fines branches de saule et de noisetier, adossé à des sapins rouges plantés sur une colline.
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Cameron Hockenson, “Ecorce arrachée”, Canada, 2010. Comme si les noeuds du bois avaient démesurément grandi, des nids en corde de chanvre de Manille ont été tissés autour des troncs d’arbre. Sous ces trois “dômes” suspendus, l’artiste canadien a voulu former un espace souterrain.
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La nature seule détermine le rythme de la construction de cet édifice de verdure. Giuliano Mauri, “Cathédrale végétale”, Italie, 2001. C’est une église gothique posée en haut d’une colline, un monument d’architecture naturelle, avec ses trois nefs et ses quatre-vingts colonnes de douze mètres de haut, composées de sapin et de branches de châtaignier. Plantés à l’intérieur de chaque structure, des charmes enveloppent au fil du temps la construction de verdure.
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Stuart Ian Frost, “Capsule”, Angleterre, 2011. Caché au coeur de la forêt, cet énorme tronc de pin perforé et brûlé est la dernière d’une série de cinq oeuvres qui tentent de comprendre le rapport d’un objet naturel avec son lieu d’origine.
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Paul Feichter, “Colonne”, Italie, 2002. Avec les branches et les racines ramassées dans un bois voisin dévasté par une tornade, l’artiste originaire de Trente a construit ce surprenant totem de quatre mètres de haut et un mètre trente de diamètre, symbole d’un équilibre rêvé entre l’homme et la nature.
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Etrange vélo mi blanc mi-cuivre, première réalisation du Peugeot Design Lab.
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Shopping : page jaune
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Patchworks de papiers peints, coussins, fauteuil, commode, carnets, poufs en patchwork.
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Extérieur du Museum der Dinge de Berlin.
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L’heure du café vue par Kaffee Hag dans les années 30. Cette marque de café créée en 1906 a toujours fait appel aux créateurs en vogue pour leurs tasses, pots, cafetière en porcelaine bistrot et boîtes en métal.
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À côté des dizaines de mètres de vitrines qui renferment 25 000 objets, le musée expose quelques meubles.
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Des ustensiles basiques en tôle émaillée fabriqués par milliers en Autriche et en Europe centrale.
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Rampe d'escalier art nouveau à l'intérieur du Museum der Dinge de Berlin.
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Des motifs caractéristiques du début du XXe siècle décorent un pichet et une tisanière en faïence Villeroy & Boch.
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Aujourd’hui exposée au MoMA, la “Frankfurter Küche” (Cuisine de Francfort), première cuisine tout équipée bon marché et ultra-fonctionnelle, dessinée en 1926 par l’architecte Margarete Schütte- Lihotsky pour un projet d’habitat social, a été fabriquée à près de 10 000 exemplaires.
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Dans la vitrine consacrée à l’aluminium sont alignés les petits ustensiles de cuisine, zesteur-décapsuleur, épluche-légumes et autres moulins.
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Porte d'entrée vitrée du Museum der Dinge de Berlin.
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Début XXe, panoplie murale pour produits d’entretien en tôle émaillée et savons pour lessiveuses.
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Une incursion dans les années 50 et les débuts du plastique, pour la cuisine, la toilette et le ménage.
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Pots à lait et quarts en tôle émaillée mouchetée.
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Peinte en rose et gris pour adoucir l’emphase de ses colonnades, la villa, d’un style néopalladien revu par Hollywood, se dresse face à la mer. Un taud couleur sable fait de l’ombre à la salle à manger extérieure, derrière la banquette indienne en bois sculpté.
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Dans le salon, la lumière est tamisée par des stores vénitiens en lamelles de bois fabriqués sur mesure à la taille des grandes fenêtres. Canapés dans des tons gris bleu et gris vert et petit guéridon (Caravane), table basse Noguchi et siège Eames (Sentou), tapis turc délavé (Stepevi).
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Emmanuelle et les garçons, Vladimir et Joseph, entre deux plongeons, devant la pergola en grosses planches de bois où l’on s’installe dans les effluves des roses du désert et du frangipanier.
Sièges et poufs en osier ou en tissu (Ikea), fauteuil “Butterfl y” de Ferrari-Hardoy, Kurchan et Bonet, 1938 (Le Bon Marché).
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Sous le lustre “Astrolabe” d’Hubert Le Gall (Galerie Avant-Scène), les deux grandes tables carrées, aux piétements d’acier et plateaux de bois peints de deux gris différents, ont été dessinées par Valérie Mazérat. Elles sont entourées de chaises “420” d’Harry Bertoia (1950, Knoll) et de chaises “Cherner” (Paul Goldman, 1957). Carafon en cristal ancien de famille, photophores en bouquets de métal doré, vase d’une céramiste de Beyrouth.
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Dans l’entrée, la table à tréteaux en bois rustique accueille divers objets blancs en céramique et porcelaine, une guirlande en papier (Tsé & Tsé), un lustre en papier (Ikea) et les feuilles d’or du tableau de Reza Derakshani, musicien plasticien iranien.
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Un jeté de lit noir et gris réalisé par un atelier de couture local s’harmonise avec les draps en lin froissé (Caravane) assortis à la couleur des murs. Les trois dessins d’oiseaux et le guéridon demi-lune, devenu une table de nuit idéale, ont été chinés aux Puces de New York.
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Une cour minérale plein Sud, idéale pour un bain de soleil. Le mur du fond a été recouvert de planches de bois peintes en gris qui se chevauchent à l’horizontale selon une technique de construction de bateau dite “à clin”, utilisée dans l’île pour les greniers à sel. Fauteuils en teck (Trinidad à Ars-en-Ré). Oliviers, bambous,
cactus rapportés d’Ibiza, agapanthes et grands bois flottés, trouvés sur la plage.
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Un salon de lecture ouvert aux amis. La table en planches de chantier vient de Hollande, chaises Tolix chinées, regalvanisées et peintes en noir, suspensions de chez Laurent Mohn à Ars-en-Ré. Sous l’escalier, un morceau de coque de bateau récupéré sur la plage. Le long du mur, une bibliothèque trouvée dans un déballage professionnel au Mans. La mezzanine en acier peint est de chez Lafargue à Chagnolet. Sous les persiennes transformées en portes de placard, un bureau et un lit d’appoint.
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La cuisine, avec son plancher de bois et ses murs en brique roses, prolonge naturellement le salon. À l’entrée, un panneau “propriété privée” trouvé sur la plage et une collection de bouteilles en verre ancien. Le plan de travail est en pierre de Belgique, d’un gris clair qui se patine avec le temps. Les placards ont été montés avec des planches de récupération peintes en blanc. Appliques Jieldé et robinetterie Grohe.
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Les baies vitrées au cadre en aluminium peint en noir (Lafargue à Chagnolet) rythment le salon et s’accordent parfaitement au rose des briques (Labrouche fils) et à la douceur du bois. Le plancher patiné provient d’un ancien atelier. Au centre, un canapé “Ghost” de Gervasoni, et une ancienne estrade d’école détournée en table basse.
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Dans la salle de bains, le sol est en béton ciré. Grande baignoire en résine (Aquamass), sous une armoire à pharmacie ancienne. Au sol, un miroir du XIXe siècle. Une salle de bains très graphique, en noir et blanc.
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En faisant passer le verre par tous les verts, vases, bouteilles et flacons se prêtent aux collections.
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Dans cet appartement situé au rez-de-chaussée d’un immeuble des années 30, les portes-fenêtres sont habillées d’un demi-voilage qui permet de profiter de la vue exceptionnelle surle dôme des Invalides tout en s’isolant de l’extérieur.
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L’entrée très spacieuse a été coupée en deux pour y installer la cuisine, isolée par une verrièreà huisserie métallique et un peu dissimulée derrière des grands bouquets de fleurs en tissu.Au premier plan, le vélo du maître de maison, féru de cyclisme.
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Installée sur tout un mur dela pièce à vivre, la bibliothèqueconçue par Sylvie se prolongeau-dessus de la porte de lacuisine, éclairée par un lustredes années 50 récupéré dansun hôtel à Florence. Au sol, leparquet d’origine 1930 à lattesfi nes a été poncé et lasurécouleur taupe afi n de donnerune unité à toutes les pièces.