C’est au Brésil, sur une bande de terre sauvage bordée par l’océan Atlantique et la forêt vierge, que Patrick, ancien sportif
de haut niveau, et sa compagne Daniela, architecte d’intérieur,
ont édifié une villégiature de rêve, ode à la nature et au bien-être.

Un cadre enchanteur.
La piscine en L se veut un prolongement de l’entrée, guidant les hôtes jusqu’au jardin au-delà duquel s’étendent la plage de sable fin et la mer.
À droite, une des six chambres.
À gauche, la terrasse, extension de la grande pièce à vivre, protégée par une structure à claires-voies en bois.
Fauteuils, tables basses et bains de soleil en bois ont été dessinés par Daniela, et réalisés localement.
Vaisselle en bois, chinée à Itacaré.
Suspension réalisée à la main dénichée dans le chic village de Trancoso.

La suite penthouse est la seule construite avec un étage, sur lequel est installée une terrasse avec vue plongeante sur la mer.
Bain de soleil et table basse en bois dessinés par Daniela.
Coussins et plaid, Maison de Vacances.
Carafe chinée à Zurich.
Tasse, poterie locale.

Largement ouverte sur la piscine et le jardin, la cuisine se veut un lieu de convivialité.
On peut observer ce qui s’y passe tranquillement installé au bar sur mesure en béton ciré, un cocktail à la main.
Table et tabourets en bois, dessinés par Daniela

Respectueuse de son environnement, la bâtisse a été construite autour du cocotier, dont on voit le tronc, qui était déjà présent sur le terrain.
Au fond, on distingue l’entrée de la maison d’hôtes

Le spacieux salon se vit dedans-dehors, grâce à ses baies vitrées qui s’ouvrent totalement. Attentive à l’environnement, Daniela s’efforce d’utiliser du bois issu d’arbres morts de la forêt vierge voisine d’Itacaré.
C’est avec des sections de ce bois qu’ont été fabriquées les tables basses.
Tout le mobilier en bois a été dessiné par Daniela.
Coussins unis et plaid, Maison de Vacances. Coussin imprimé, Lindel & Co.
Au premier plan, les bols en corde sont signés Neó by Rosanna Contadini.
Au mur, une coiffe brésilienne traditionnelle en plumes d’oiseaux.

En tête à tête avec l’océan.
Table basse et bains de soleil en bois dessinés par Daniela.
Coussins et plaid, Maison de Vacances.

FLOT INDIGO
1. Papier peint panoramique, “Sirtaki”, coll. Tempo, Élitis.
2. Fauteuil en coeur de teck, “Dining Armchair”, coll. Riva, design Jasper Morrison, Kettal.
3. Coussin en khadi de coton, “Bajna” coloris indigo “Checks”, Caravane.
4. Bain de soleil en teck avec toile Sunbrella bleue, “Copacabana”, design Christophe Delcourt, Tectona.
5. Drap de plage en coton avec une face éponge, “Eponge Pestamal” coloris curry, Harmony Textile.
6. Chaise longue réalisée avec des lattes en teck, “Swing”, Unopiù.
7. Coussin en coton, “Cumulus”, Caravane.
8. Mug en grès noir mat, coll. Texture, Merci.
9. Tasses en grès, “N° 9 Noir d’Encre”, création Merci pour Serax, Merci.
10. et 11. Tables basses en bois exotique, pieds en métal, Sophie Séguéla Intérieurs.

Loin de l’effervescence d’Ibiza, la créatrice anglaise de bijoux
Jade Jagger a fait d’une finca, sur l’île de Formentera,
un refuge estival familial, bohème et très cool.
Confidences avec vue pour Jade Jagger, créatrice et égérie du style cool-chic.

Une sieste, à l’ombre des palmiers.
Tissu et coussins indiens

Montée au paradis, jusqu’à la terrasse, pour profiter du spectacle de l’eau turquoise et de la nature aride.
Les contremarches sont habillées de carreaux en ciment fabriqués sur l’île.

Sweet seventies dans le salon au toit de chaume traditionnel.
Attenant à la cuisine extérieure et à une terrasse, il est éclairé de lampes marocaines patinées par le temps.
Les tapis et tissus ont été rapportés de différents voyages en Afrique et en Asie. Carreaux en ciment Popham design

Accès direct à la plage, depuis la terrasse située à l’arrière de la maison. Au fond, une chambre d’amis.

Dîner à la maison blanche, sous les dattiers, protégé des vents par les traditionnels murets immaculés, blanchis à la chaux,
qui mettent en valeur une collection de succulentes.
Tissu et coussins rapportés de Goa.

Couleur chaude dans la cuisine attenante au salon, habillée de bois local et de carreaux de ciment marocains (Popham design).

Sous un filet d’eau fraîche, dans la douche aménagée en plein air, abritée du soleil et des regards par un insolite filet de camouflage!

Happy hippie.
Atmosphère gypsy chic dans la chambre d’amis.
Sur le lit, une couverture indienne rapportée de Goa, où Jade a un atelier de création de bijoux.

En quête d’authenticité, l’artiste Jean-François Fourtou a travaillé avec des artisans locaux maîtrisant l’art du zellige marocain. Pouf, Paola Lenti

Un essaim géant.
Tout en résine, aluminium et fourrure, des abeilles format XXL s’activent sur les murs, juste à côté des lampes-cocons en soie, Ango.
L’escalier tout en bois et métal, dessiné par Jean-François Fourtou et réalisé par un entrepreneur local en iroko, est longé de fils de soie qui guident le visiteur jusqu’au sous-sol.

Un paysage sans fin.
Le patio s’ouvre sur le jardin planté d’oliviers au milieu duquel passent deux bassins de cinquante mètres de long chacun, le tout sur fond des collines du Djebilet.
De chaque côté, les portes s’ouvrent en grand pour permettre à une voiture de venir déposer les hôtes directement au coeur du riad.
Les zelliges au sol se transforment peu à peu en plâtre gravé puis en plâtre lisse le long des murs.
Poufs, Paola Lenti.

Dédale labyrinthique.
Le sous-sol compte une douzaine de petites pièces disséminées autour du bassin central situé au pied de l’escalier.
Chacune est dédiée à une activité précise : massage, bain froid japonais, hammam, yoga, etc.
La pièce que l’on voit au fond est une salle de repos où trône un fauteuil en osier, réalisé par un artisan local.
Au sol, les zelliges s’éclaircissent au fur et à mesure de leur progression sur les murs, pour accompagner le jeu de lumières du plafond qui simulent un puits de lumière.

La salle à manger extérieure plaît aux fourmis ouvrières, en résine et aluminium, qui viennent y piocher des éléments.
La façade, en carreaux de ciment évidés, reproduit les alvéoles des abeilles voisines.
Créée par Philippe Forrestier, la grande table en miroir sert à la fois de reflet à l’oliveraie et de point lumineux.
Chaises, Verner Panton (Vitra).

Le salon donne le ton, avec ses étagères en verre recouvertes de bocaux en glycérine teintée pour figurer de grands pots de miel de différentes variétés.
Au plafond, l’abeille en résine, aluminium et fourrure évolue au milieu de zelliges découpés au laser pour former des alvéoles.
Au sol, les cubes en laiton simulent du miel condensé.
Y sont posés des pots tressés par des artisans marocains. Lampadaires, Ango.
Canapé réalisé sur mesure au Maroc, tout comme les coussins faits à partir de tissus chinés au souk et rebrodés à la main.

Très affairées, les fourmis s’y mettent à deux pour venir voler
la fausse voiturette électrique, réalisée par Philippe Forrestier en métal et plastique, hissée sur le toit du parking à l’extérieur du riad.